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Lire pour bien écrire

Quand il s’agit d’améliorer son style d’écriture, rien ne vaut une pratique quotidienne.

Il faut écrire encore et encore, jour après jour. C’est ce qui permet de peaufiner son expression écrite.

Cela dit, la pratique n’est pas suffisante.

Un autre élément est au moins aussi important pour être à même de bien écrire : c’est la lecture.

Tous les écrivains sont de gros lecteurs.

Pendant une certaine période, j’ai été moi-même un lecteur vorace. Je lisais tout ce qui me passait entre les mains et semblait intéressant.

Ensuite, j’étais prolifique quand j’écrivais.

Comme mes lectures me donnaient beaucoup d’inspiration, je n’étais (presque) jamais en « panne ». J’écrivais beaucoup, facilement.

Puis est venue une période où j’ai cessé progressivement de lire.

D’abord parce que je me suis forcé à lire de la littérature que je n’appréciais pas particulièrement. Mes lectures sont devenues plus laborieuses et moins agréables. J’ai peu à peu perdu goût à la lecture, sans même m’en rendre compte.

Je suis passé de 2 à 4 livres par semaine, à moins d’un par mois !

Mais ça ne me semblait pas important. Après tout, en quoi cela pouvait perturber ma créativité ?

Au contraire, moins je passais de temps à lire, plus je pourrais en consacrer à écriture !

Du moins, c’est ce que je croyais.

Seulement, ce n’est pas vraiment comme cela que ça marche…

L’inspiration, l’écrivain la puise dans ses lectures. Dans les idées qu’il y trouve, dans les phrases qu’il y lit.

S’il cesse de lire, c’est la fin de l’inspiration – telle un ruisseau qui s’achèche faute de pluie.

Dès lors, vous avez beau avoir une belle plume, vous ne savez plus quoi écrire. Et avoir une belle plume ne sert à rien quand on n’a plus rien à écrire.

Du reste, puis-ce que l’expression écrite s’améliore par la pratique, lorsqu’on ne sait plus quoi écrire on cesse tout bonnement de progresser.

Je dirais même plus : on régresse !

C’est ce qui m’est arrivé.

J’ignore si j’ai véritablement régressé, mais durant la période où j’ai cessé de lire, j’ai commencé à éprouver des difficultés à écrire. Que ce soit à trouver des idées ou les mettre correctement en forme.  

Puis je me suis remis à lire.

Et peu à peu mon écriture est redevenue plus fluides. Les idées et les phrases se sont remises à fuser dans ma tête.

La morale, c’est que pour être un écrivain prolifique, il ne s’agit pas seulement de poser son cul sur un siège de bureau et pianoter sur un clavier.

En tout honnêteté, c’est déjà très difficile d’écrire plus de 4 ou 5 heures par jour. Après environ 3 à 4 heures de concentration intense, le cerveau fait un burn-out et il faut une longue pause avant de redémarrer une nouvelle session d’écriture.

Mais c’est encore plus épuisant quand on ne sait pas quoi écrire. Quand on se retrouve devant une page blanche ou qu’on passe des heures à effacer les deux tiers de ce que l’on vient d’écrire, parce que c’est purement et simplement de la merde !  

Le job d’écrivain ne consiste pas à seulement à écrire, mais aussi à nourrir son inspiration dans les écrits des autres, afin de gagner en productivité et aiguisé son sens du style.

Si vous voulez vous mettre sérieusement à l’écriture, vous devez non seulement prévoir au moins une session de quelques heures d’écriture tous les jours, mais aussi au moins une session de lecture. C’est très, très important.

On ne lit jamais assez…

Ne lisez pas n’importe quoi, évidemment.

  • Lisez utile. Tout ce qui peut vous apporter des infos, ou qui appartient au genre que vous écrivez, ou qui est proche de la manière dont vous aimeriez écrire.
  • N’oubliez pas de vous faire plaisir en lisant. Evitez les lectures que vous trouvez rébarbatives. 

Je ne dis pas que vous devriez éviter la littérature classique si n’en êtes pas friand (c’est important d’avoir certaine culture de la littérature classique). Mais si ça vous stimule peu il faut que cela ne représente qu’une infime partie de vos lectures.

C’est peu comme un compositeur de musique électronique…

Il peut connaître les œuvre classiques (Mozart, Beethoven, Brahms, etc., etc.), mais il prendra bien plus de plaisir et trouvera bien plus l’inspiration en écoutant la musique qu’il aime. Que ce soit Jean Michel Jarre ou d’autres.    

Conditions générales d’utilisation et de vente du site chrisberman.fr

I. CONDITIONS GÉNÉRALES D’UTILISATION

ARTICLE 1. INFORMATIONS LÉGALES

En vertu de l’article 6 de la Loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique, il est précisé dans cet article l’identité des différents intervenants dans le cadre de sa réalisation et de son suivi.

Le site chrisberman.fr est édité par Christopher Berman, dont le siège siège social est situé au 12 rue de la bergeonnerie, 37300 Joué-Lès-Tours, et immatriculée au 82063703100023.

Téléphone : 07.82.22.29.22

Adresse e-mail : christopher.karl.berman@gmail.com.

Le directeur de publication du site est : Monsieur Christopher Berman.

Le site chrisberman.fr est hébergé par OVH, dont le siège est situé au 2 Rue Kellermann, 59100 Roubaix

Numéro de téléphone : 09.72.10.10.07

ARTICLE 2. PRÉSENTATION DU SITE

Le site chrisberman.fr a pour objet la vente de prestation service relative à la rédaction d’articles et de produits d’information, ainsi que la vente et l’affiliation de produits d’information.

ARTICLE 3. CONTACT

Pour toute question ou demande d’information concernant le site, ou tout signalement de contenu ou d’activités illicites, l’utilisateur peut contacter l’éditeur à l’adresse e-mail suivante: christopher.karl.berman@gmail.com ou adresser un courrier recommandé avec accusé de réception à : Christopher Berman – 12 rue de la Bergeonnerie, 37300 Joué-Lès-Tours

ARTICLE 4. ACCEPTATION DES CONDITIONS D’UTILISATION

L’accès et l’utilisation du site sont soumis à l’acceptation et au respect des présentes Conditions Générales d’Utilisation.

L’éditeur se réserve le droit de modifier, à tout moment et sans préavis, le site et des services ainsi que les présentes CGU, notamment pour s’adapter aux évolutions du site par la mise à disposition de nouvelles fonctionnalités ou la suppression ou la modification de fonctionnalités existantes.

Il est donc conseillé à l’utilisateur de se référer avant toute navigation à la dernière version des CGU, accessible à tout moment sur le site. En cas de désaccord avec les CGU, aucun usage du site ne saurait être effectué par l’utilisateur.

ARTICLE 5. ACCÈS ET NAVIGATION

L’éditeur met en œuvre les solutions techniques à sa disposition pour permettre l’accès au site 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Il pourra néanmoins à tout moment suspendre, limiter ou interrompre l’accès au site ou à certaines pages de celui-ci afin de procéder à des mises à jours, des modifications de son contenu ou tout autre action jugée nécessaire au bon fonctionnement du site.

La connexion et la navigation sur le site chrisberman.fr valent acceptation sans réserve des présentes Conditions Générales d’Utilisation, quelques soient les moyens techniques d’accès et les terminaux utilisés.
Les présentes CGU s’appliquent, en tant que de besoin, à toute déclinaison ou extension du site sur les réseaux sociaux et/ou communautaires existants ou à venir.

ARTICLE 6. GESTION DU SITE

Pour la bonne gestion du site, l’éditeur pourra à tout moment :

  • Suspendre, interrompre ou limiter l’accès à tout ou partie du site, réserver l’accès au site, ou à certaines parties du site, à une catégorie déterminée d’internaute ;
  • Supprimer toute information pouvant en perturber le fonctionnement ou entrant en contravention avec les lois nationales ou internationales, ou avec les règles de la Nétiquette ;
  • Suspendre le site afin de procéder à des mises à jour.

ARTICLE 7. RESPONSABILITÉS

L’éditeur n’est responsable que du contenu qu’il a lui-même édité.

L’éditeur n’est pas responsable :

  • En cas de problématiques ou défaillances techniques, informatiques ou de compatibilité du site avec un matériel ou logiciel quel qu’il soit ;
  • Des dommages directs ou indirects, matériels ou immatériels, prévisibles ou imprévisibles résultant de l’utilisation ou des difficultés d’utilisation du site ou de ses services ;
  • Des caractéristiques intrinsèques de l’Internet, notamment celles relatives au manque de fiabilité et au défaut de sécurisation des informations y circulant ;
  • Des contenus ou activités illicites utilisant son site et ce, sans qu’il en ait pris dûment connaissance au sens de la Loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique et la Loi n°2004-801 du 6 août 2004 relative à la protection des personnes physiques à l’égard de traitement de données à caractère personnel.

Par ailleurs, le site ne saurait garantir l’exactitude, la complétude, et l’actualité des informations qui y sont diffusées.
L’utilisateur est responsable :

  • De la protection de son matériel et de ses données ;
  • De l’utilisation qu’il fait du site ou de ses services ;
  • S’il ne respecte ni la lettre, ni l’esprit des présentes CGU.

ARTICLE 8. LIENS HYPERTEXTES

Le site peut contenir des liens hypertextes pointant vers d’autres sites internet sur lesquels chrisberman.fr n’exerce pas de contrôle. Malgré les vérifications préalables et régulières réalisés par l’éditeur, celui-ci décline tout responsabilité quant aux contenus qu’il est possible de trouver sur ces sites.

L’éditeur autorise la mise en place de liens hypertextes vers toute page ou document de son site sous réserve que la mise en place de ces liens ne soit pas réalisée à des fins commerciales ou publicitaires.

En outre, l’information préalable de l’éditeur du site est nécessaire avant toute mise en place de lien hypertexte.

Sont exclus de cette autorisation les sites diffusant des informations à caractère illicite, violent, pornographique, xénophobe ou pouvant porter atteinte à la sensibilité du plus grand nombre.

Enfin, chrisberman.fr se réserve le droit de faire supprimer à tout moment un lien hypertexte pointant vers son site, si le site l’estime non conforme à sa politique éditoriale.

ARTICLE 9 : CONFIDENTIALITÉ

En plus des présentes Conditions Générales, le site dispose d’une politique de confidentialité qui décrit la manière dont les données à caractère personnel sont traitées lorsque l’utilisateur se rend sur le site, ainsi que la manière dont les cookies sont utilisés.

En naviguant sur le site, l’utilisateur déclare avoir également pris connaissance de la politique de confidentialité susmentionnée.

ARTICLE 10. PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

La structuration du site mais aussi les textes, graphiques, images, photographies, sons, vidéos et applications informatiques qui le composent sont la propriété de l’éditeur et sont protégés comme tels par les lois en vigueur au titre de la propriété intellectuelle.

Toute représentation, reproduction, adaptation ou exploitation partielle ou totale des contenus, marques déposées et services proposés par le site, par quelque procédé que ce soit, sans l’autorisation préalable, expresse et écrite de l’éditeur, est strictement interdite et serait susceptible de constituer une contrefaçon au sens des articles L. 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle. Et ce, à l’exception des éléments expressément désignés comme libres de droits sur le site.

L’accès au site ne vaut pas reconnaissance d’un droit et, de manière générale, ne confère aucun droit de propriété intellectuelle relatif à un élément du site, lesquels restent la propriété exclusive de l’éditeur.

Il est interdit à l’utilisateur d’introduire des données sur le site qui modifieraient ou qui seraient susceptibles d’en modifier le contenu ou l’apparence.

ARTICLE 11. LOI APPLICABLE ET JURIDICTION COMPÉTENTE

Les présentes Conditions Générales d’Utilisation sont régies par la loi française. En cas de différend et à défaut d’accord amiable, le litige sera porté devant les tribunaux français conformément aux règles de compétence en vigueur.

Le site chrisberman.fr vous souhaite une excellente navigation !

II. CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE

PREAMBULE

Le site est édité par le vendeur, Christopher Berman, dont le siège social est situé au 12 rue de la bergeonnerie, 37300 Joué-Lès-Tours, Siret n°82063703100023 .

Le vendeur n’est pas assujetti à la TVA en vertu de l’article article 293 B du CGI.

Les dispositions suivantes ont pour objet de définir les conditions générales de vente sur le site chrisberman.fr

Les présentes conditions générales de vente (ci-après « CGV ») définissent les droits et obligations contractuels du vendeur et de son client dans le cadre d’une vente à distance et par voie électronique de biens et produits.

Les CGV régissent exclusivement la relation entre le vendeur et le client.

Les CGV expriment l’intégralité des obligations des parties. Le client est réputé les accepter sans réserve, faute de quoi sa commande ne sera pas validée.

En cas de doute sur l’une des conditions de vente, les usages en vigueur dans le secteur de la vente à distance par des sociétés dont le siège social est en France et le Code de la consommation s’appliquent.

Le vendeur se réserve le droit de modifier ponctuellement les CGV. Les modifications seront applicables dès leur mise en ligne.

ARTICLE 1. CATALOGUE OU BOUTIQUE EN LIGNE

Par l’intermédiaire du site, le vendeur fournit au client un catalogue ou une boutique en ligne présentant avec exactitude les produits vendus, sans que les photographies aient une valeur contractuelle.

Les produits sont décrits et présentés avec la plus grande exactitude possible. Toutefois, en cas d’erreurs ou omissions dans la présentation, la responsabilité du vendeur ne pourra être engagée de ce fait.

Les produits sont proposés dans la limite des stocks disponibles.

Les prix et les taxes afférentes à la vente des produits sont précisés dans le catalogue ou la boutique en ligne.

ARTICLE 2. PRIX

Le vendeur se réserve le droit de modifier ses prix à tout moment en les publiant en ligne.

Seuls s’appliqueront les tarifs en vigueur indiqués au moment de la commande, sous réserve de disponibilité des produits à cette date.

Les prix sont indiqués en euros (hors taxes et toutes taxes comprises).

Les prix tiennent compte des taxes applicables au jour de la commande et tout changement du taux de ces taxes sera automatiquement répercuté sur le prix des produits du catalogue ou de la boutique en ligne. Si une ou plusieurs taxes ou contributions, notamment environnementales, venaient à être créées ou modifiées, en hausse comme en baisse, ce changement pourra être répercuté sur le prix de vente des produits.

Le montant total de la commande (toutes taxes comprises) est indiqué avant validation finale du bon de commande.

Le paiement de la totalité du prix doit être réalisé lors de la commande.

ARTICLE 3. COMMANDE EN LIGNE

Le client a la possibilité de remplir un bon de commande en ligne, au moyen d’un formulaire électronique. En remplissant le formulaire électronique, le client accepte le prix et la description des produits.

Le client devra accepter en cliquant à l’endroit indiqué, les présentes conditions générales de vente, pour que sa commande soit validée.

Le client devra donner une adresse de courrier électronique valide et reconnaît par les présentes conditions générales de vente que tout échange avec le vendeur pourra intervenir au moyen de cette adresse.

Le client devra aussi choisir le mode de livraison et valider le mode de paiement.

Le vendeur se réserve le droit de bloquer la commande du client en cas de défaut de paiement, d’adresse erronée ou de tout autre problème sur le compte du client et ce, jusqu’à résolution du problème.

ARTICLE 4. CONFIRMATION ET PAIEMENT DE LA COMMANDE

Il s’agit d’une commande avec obligation de paiement, ce qui signifie que la passation de la commande implique un règlement du client.

1. PAIEMENT

Le client effectue le paiement au moment de la validation finale de la commande en spécifiant son numéro de carte bancaire.

Le client garantit au vendeur qu’il dispose des autorisations nécessaires pour utiliser ce mode de paiement et reconnait que les informations données à cet effet valent preuve de son consentement à la vente comme à l’exigibilité des sommes dues au titre de la commande.

En cas de contestation ou d’utilisation frauduleuse de la carte bancaire sans utilisation physique de la carte bancaire (utilisation du numéro de la carte bancaire), toute personne peut contester dans les 70 jours à partir de la date de l’opération en transmettant une réclamation selon les modalités suivantes, afin que le vendeur prenne à sa charge les coûts de la vente et restitue la somme contestée :

  • par courrier recommandé avec accusé de réception adressé à Monsieur Christopher Berman, au 12 rue de la bergeonnerie, 37300 Joué-Lès-Tours ;
  • par mail adressé au service client à l’adresse électronique suivante : christopher.karl.berman@gmail.com
    Toute contestation non effectuée dans les règles définies ci-dessus et dans les délais impartis ne pourra être prise en compte et dégagera le vendeur de toute responsabilité.

Le vendeur a mis en place une procédure de vérification des commandes et des moyens de paiement destinée à le garantir raisonnablement contre toute utilisation frauduleuse d’un moyen de paiement, y compris en demandant au client des données d’identification.

En cas de refus d’autorisation de paiement par carte bancaire de la part des organismes accrédités ou en cas de non-paiement, le vendeur se réserve le droit de suspendre ou d’annuler la commande et sa livraison.

Le vendeur se réserve également le droit de refuser une commande émanant d’un acheteur qui n’aurait pas réglé totalement ou partiellement une commande précédente ou avec lequel un litige de paiement serait en cours.

2. CONFIRMATION

Dès réception de la validation de l’achat et du paiement par le client, le vendeur transmet à ce dernier, sur l’adresse électronique qu’il a précisée, confirmation de la réception du bon de commande et un exemplaire du contrat à imprimer.

Le paiement de la totalité du prix doit être réalisé lors de la commande.

Le vendeur est tenu d’adresser une facture au client lors de la livraison.

Pour toute question relative à la commande, le client pourra contacter le service client aux coordonnées suivantes :
christopher.karl.berman@gmail.com

ARTICLE 5. SIGNATURE ÉLECTRONIQUE

Conformément aux dispositions de la Loi n° 2000-230 du 13 mars 2000, la fourniture en ligne du numéro de carte bancaire de l’acheteur et la validation finale de la commande valent preuve de l’accord du client, de l’exigibilité des sommes dues au titre du bon de commande, signature et acceptation expresse de toutes les opérations effectuées.

ARTICLE 6. PREUVE DE LA TRANSACTION

Les communications, commandes et paiements intervenus entre le client et le vendeur pourront être prouvés grâce aux registres informatisés, conservés dans les systèmes informatiques du vendeur dans des conditions raisonnables de sécurité. Les bons de commandes et factures sont archivés sur un support fiable et durable considéré, notamment, comme un moyen de preuve.

ARTICLE 7. MODE DE PAIEMENT

L’ensemble des modes de paiement mis à la disposition du client sont listés sur le site du vendeur. Le client garantit au vendeur qu’il dispose des autorisations éventuellement nécessaires pour utiliser le mode de paiement choisi par lui, lors de la passation de commande.

ARTICLE 8. DROIT DE RÉTRACTATION

Conformément aux dispositions de l’article L. 121-21-8 du Code de la consommation, l’utilisateur ne pourra faire valoir son droit de rétractation une fois le produit mis à sa disposition, et les fichiers informatiques téléchargés, à partir du moment où celui-ci a donné son accord préalable exprès à l’exécution.

ARTICLE 9. FORCE MAJEURE

Les parties seront exonérées de leurs obligations, dans le cas où une circonstance constitutive d’un cas de force majeure tel que défini par l’article 1218 du code civil, empêcherait leur exécution. Les obligations des parties seront suspendues.

La partie qui invoque une telle circonstance, devra en avertir l’autre partie immédiatement, à sa survenance et à sa disparition.

Sont considérés comme des cas de force majeure tous faits ou circonstances irrésistibles et imprévisibles, inévitables et qui ne pourront être empêchés par ces dernières, malgré tous les efforts raisonnablement possibles, définis comme tel par la jurisprudence française et notamment, le blocage des moyens de transports ou d’approvisionnements, tremblements de terre, incendies, tempêtes, inondations, foudre, et l’arrêt des réseaux de télécommunication.

Si le cas de force majeur a une durée supérieure à trois mois, les présentes conditions générales pourront être résiliées par la partie lésée.

ARTICLE 10. NULLITÉ PARTIELLE

Si une ou plusieurs stipulations des présentes conditions générales de vente venait à être déclarée nulle par application de la loi, d’un règlement ou d’une décision définitive d’une juridiction française, les autres stipulations garderont toute leur force et leur portée.

ARTICLE 11. LOI APPLICABLE ET JURIDICTION COMPÉTENTE

Le vendeur est installé en France d’une manière stable et durable pour exercer effectivement son activité, quel que soit, s’agissant d’une personne morale, le lieu d’implantation de son siège social.

Aussi, les présentes CGV sont soumises à l’application du droit français, à l’exclusion des dispositions de la Convention de Vienne.

En cas de litige ou de réclamation, le client s’adressera en priorité au vendeur pour obtenir une solution amiable.

A défaut d’accord amiable, le client, s’il contracte en tant que consommateur, pourra engager une procédure devant la juridiction de son choix et s’il contracte en tant que professionnel, pourra engager une procédure devant le tribunal du lieu du siège social du vendeur.

Politique de confidentialité

ARTICLE 1 : PRÉAMBULE

Cette politique de confidentialité s’applique au site : chrisberman.fr.

La présente politique de confidentialité a pour but d’exposer aux utilisateurs du site :

  • La manière dont sont collectées et traitées leurs données à caractère personnel. Doivent être considérées comme données personnelles toutes les données étant susceptibles d’identifier un utilisateur. Il s’agit notamment du prénom et du nom, de l’âge, de l’adresse postale, l’adresse mail, la localisation de l’utilisateur ou encore son adresse IP ;
  • Quels sont les droits des utilisateurs concernant ces données ;
  • Qui est responsable du traitement des données à caractère personnel collectées et traitées ;
  • A qui ces données sont transmises ;
  • Éventuellement, la politique du site en matière de fichiers « cookies ».

Cette politique de confidentialité complète les mentions légales et les Conditions Générales d’Utilisation que les utilisateurs peuvent consulter à l’adresse ci-après : https://chrisberman.fr

ARTICLE 2 : PRINCIPES GÉNÉRAUX EN MATIÈRE DE COLLECTE ET DE TRAITEMENT DE DONNÉES

Conformément aux dispositions de l’article 5 du Règlement européen 2016/679, la collecte et le traitement des données des utilisateurs du site respectent les principes suivants :

  • Licéité, loyauté et transparence : les données ne peuvent être collectées et traitées qu’avec le consentement de l’utilisateur propriétaire des données. A chaque fois que des données à caractère personnel seront collectées, il sera indiqué à l’utilisateur que ses données sont collectées, et pour quelles raisonsses données sont collectées ;
  • Finalités limitées : la collecte et le traitement des données sont exécutés pour répondre à un ou plusieurs objectifs déterminés dans les présentes conditions générales d’utilisation ;
  • Minimisation de la collecte et du traitement des données : seules les données nécessaires à la bonne exécution des objectifs poursuivis par le site sont collectées ;
  • Conservation des données réduites dans le temps : les données sont conservées pour une durée limitée, dont l’utilisateur est informé. Lorsque cette information ne peut pas être communiquée, l’utilisateur est informé des critères utilisés pour déterminer la durée de conservation ;
  • Intégrité et confidentialité des données collectées et traitées : le responsable du traitement des données s’engage à garantir l’intégrité et la confidentialité des données collectées.

Afin d’être licites, et ce conformément aux exigences de l’article 6 du règlement européen 2016/679, la collecte et le traitement des données à caractère personnel ne pourront intervenir que s’ils respectent au moins l’une des conditions ci-après énumérées :

  • L’utilisateur a expressément consenti au traitement ;
  • Le traitement est nécessaire à la bonne exécution d’un contrat ;
  • Le traitement répond à une obligation légale ;
  • Le traitement s’explique par une nécessité liée à la sauvegarde des intérêts vitaux de la personne concernée ou d’une autre personne physique ;
  • Le traitement peut s’expliquer par une nécessité liée à l’exécution d’une mission d’intérêt public ou qui relève de l’exercice de l’autorité publique ;
  • Le traitement et la collecte des données à caractère personnel sont nécessaires aux fins des intérêts légitimes et privés poursuivis par le responsable du traitement ou par un tiers.

ARTICLE 3 : DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL COLLECTÉES ET TRAITÉES DANS LE CADRE DE LA NAVIGATION SUR LE SITE

A. DONNÉES COLLECTÉES ET TRAITÉES ET MODE DE COLLECTE

Les données à caractère personnel collectées sur le site Chris berman sont les suivantes :
Adresse email, adresse IP.

Ces données sont collectées lorsque l’utilisateur effectue l’une des opérations suivantes sur le site : lorsque l’utilisateur poste un commentaire, renseigne son email.

Le responsable du traitement conservera dans ses systèmes informatiques du site et dans des conditions raisonnables de sécurité l’ensemble des données collectées pour une durée indéterminée.

La collecte et le traitement des données répondent aux finalités suivantes : les données sont collectées afin de pouvoir envoyer des emails (offre, publicité, alerte de publication).

B. TRANSMISSION DES DONNÉES A DES TIERS

Les données à caractère personnel collectées par le site ne sont transmises à aucun tiers, et ne sont traitées que par l’éditeur du site.

C. HÉBERGEMENT DES DONNÉES

Le site Chris berman est hébergé par : OVH, dont le siège est situé à l’adresse ci-après :

2 Rue Kellermann, 59100 Roubaix

L’hébergeur peut être contacté au numéro de téléphone suivant : 09 72 10 10 07

Les données collectées et traitées par le site sont exclusivement hébergées et traitées en France.

ARTICLE 4 : RESPONSABLE DU TRAITEMENT DES DONNÉES

A. LE RESPONSABLE DU TRAITEMENT DES DONNÉES

Le responsable du traitement des données à caractère personnel est Christopher Berman.

Il peut être contacté par email : christopher.karl.berman@gmail.com

Le responsable du traitement des données est chargé de déterminer les finalités et les moyens mis au service du traitement des données à caractère personnel.

B. OBLIGATIONS DU RESPONSABLE DU TRAITEMENT DES DONNÉES

Le responsable du traitement s’engage à protéger les données à caractère personnel collectées, à ne pas les transmettre à des tiers sans que l’utilisateur n’en ait été informé et à respecter les finalités pour lesquelles ces données ont été collectées.

Le site dispose d’un certificat SSL afin de garantir que les informations et le transfert des données transitant par le site sont sécurisés.

Un certificat SSL (« Secure Socket Layer » Certificate) a pour but de sécuriser les données échangées entre l’utilisateur et le site.

De plus, le responsable du traitement des données s’engage à notifier l’utilisateur en cas de rectification ou de suppression des données, à moins que cela n’entraîne pour lui des formalités, coûts et démarches disproportionnés.

Dans le cas où l’intégrité, la confidentialité ou la sécurité des données à caractère personnel de l’utilisateur est compromise, le responsable du traitement s’engage à informer l’utilisateur par tout moyen.

ARTICLE 5 : DROITS DE L’UTILISATEUR

Conformément à la réglementation concernant le traitement des données à caractère personnel, l’utilisateur possède les droits ci-après énumérés.

Afin que le responsable du traitement des données fasse droit à sa demande, l’utilisateur est tenu de lui communiquer : ses prénom et nom ainsi que son adresse e-mail.

Le responsable du traitement des données est tenu de répondre à l’utilisateur dans un délai de 30 (trente) jours maximum.

A. PRÉSENTATION DES DROITS DE L’UTILISATEUR EN MATIÈRE DE COLLECTE ET TRAITEMENT DE DONNÉES

a. Droit d’accès, de rectification et droit à l’effacement

L’utilisateur peut prendre connaissance, mettre à jour, modifier ou demander la suppression des données le concernant, en en faisant la requête au propriétaire du site internet.

b. Droit à la portabilité des données

L’utilisateur a le droit de demander la portabilité de ses données personnelles, détenues par le site, vers un autre site, en se conformant à la procédure ci-après : demande au propriétaire du site internet par email.

c. Droit à la limitation et à l’opposition du traitement des données

L’utilisateur a le droit de demander la limitation ou de s’opposer au traitement de ses données par le site, sans que le site ne puisse refuser, sauf à démontrer l’existence de motifs légitimes et impérieux, pouvant prévaloir sur les intérêts et les droits et libertés de l’utilisateur.

Afin de demander la limitation du traitement de ses données ou de formuler une opposition au traitement de ses données, l’utilisateur doit suivre la procédure suivante : contacter le propriétaire du site internet par email.

d. Droit de ne pas faire l’objet d’une décision fondée exclusivement sur un procédé automatisé

Conformément aux dispositions du règlement 2016/679, l’utilisateur a le droit de ne pas faire l’objet d’une décision fondée exclusivement sur un procédé automatisé si la décision produit des effets juridiques le concernant, ou l’affecte de manière significative de façon similaire.

e. Droit de déterminer le sort des données après la mort

Il est rappelé à l’utilisateur qu’il peut organiser quel doit être le devenir de ses données collectées et traitées s’il décède, conformément à la loi n°2016-1321 du 7 octobre 2016.

f. Droit de saisir l’autorité de contrôle compétente

Dans le cas où le responsable du traitement des données décide de ne pas répondre à la demande de l’utilisateur, et que l’utilisateur souhaite contester cette décision, ou, s’il pense qu’il est porté atteinte à l’un des droits énumérés ci-dessus, il est en droit de saisir la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés, https://www.cnil.fr) ou tout juge compétent.

B. DONNÉES PERSONNELLES DES PERSONNES MINEURES

Conformément aux dispositions de l’article 8 du règlement européen 2016/679 et à la loi Informatique et Libertés, seuls les mineurs âgés de 15 ans ou plus peuvent consentir au traitement de leurs données personnelles.

Si l’utilisateur est un mineur de moins de 15 ans, l’accord d’un représentant légal sera requis afin que des données à caractère personnel puissent être collectées et traitées.

L’éditeur du site se réserve le droit de vérifier par tout moyen que l’utilisateur est âgé de plus de 15 ans, ou qu’il aura obtenu l’accord d’un représentant légal avant de naviguer sur le site.

ARTICLE 6 : CONDITIONS DE MODIFICATION DE LA POLITIQUE DE CONFIDENTIALITÉ

La présente politique de confidentialité peut être consultée à tout moment à l’adresse ci-après indiquée :
https://chrisberman.fr/politique-de-confidentialite

L’éditeur du site se réserve le droit de la modifier afin de garantir sa conformité avec le droit en vigueur.

Par conséquent, l’utilisateur est invité à venir consulter régulièrement cette politique de confidentialité afin de se tenir informé des derniers changements qui lui seront apportés.

Il est porté à la connaissance de l’utilisateur que la dernière mise à jour de la présente politique de confidentialité est intervenue le : 25/04/2020.

ARTICLE 7 : ACCEPTATION PAR L’UTILISATEUR DE LA POLITIQUE DE CONFIDENTIALITÉ

En naviguant sur le site, l’utilisateur atteste avoir lu et compris la présente politique de confidentialité et en accepte les conditions, en ce qui concerne plus particulièrement la collecte et le traitement de ses données à caractère personnel.

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Pourquoi le plaisir immédiat conduit à l’insatisfaction permanente

« Un jour, je… »

Un jour j’écrirai mon premier livre, je lancerai mon blog, j’apprendrai l’anglais…

C’est le genre de phrases qu’on entend partout, tout le temps.

Mais combien concrétisent ce à quoi ils aspirent ?

Très peu.

Pourtant, c’est rarement le talent, la chance ou l’intelligence qui leur manque, mais un attribut bien plus basique.

L’incapacité à renoncer au plaisir immédiat.

Faire preuve d’abnégation, c’est la différence fondamentale entre ceux qui réussissent, et tous les autres.

Prenons un exemple ô combien courant !…

Les gens qui veulent perdre du poids sont nombreux ; quelques-uns y parviennent, mais beaucoup échouent.

Toutefois, maigrir n’est pas si difficile en soi. Ça ne demande ni chance ni talent particulier.

La tâche se résume à peu près à ceci : surveiller son alimentation, se dépenser et persévérer.

Rien de sorcier.

Ceux qui réussissent se distinguent dans leur détermination à résister aux multiples tentations qui procurent un plaisir sur l’instant, mais les détournent de leur objectif — aliments caloriques, grignotage et indolence.

Tous les autres échouent parce qu’ils finissent irrémédiablement par succomber à ces tentations.

Je ne prétends pas qu’il est simple de renoncer au plaisir immédiat. Au contraire, là réside justement la difficulté de tout accomplissement qui vaut la peine d’être atteint !

Mais, comme dit l’adage : Celui qui veut entreprendre trouve les moyens ; celui qui ne veut pas trouve les excuses .

Trop souvent les excuses servent à légitimer à tort le choix du plaisir immédiat aux dépens de ses objectifs.

  • Rester vautré sur son canapé à regarder la télé plutôt que courir ;
  • Manger des chips plutôt que de rester à jeun ;
  • Le fast food plutôt que les légumes ;

Et la plupart d’entre nous sommes des « experts en excuses » !…

Ils aimerait faire ou obtenir ceci ou cela, mais sans payer le prix d’aucun renoncement.

Le renoncement est temporaire, pas définitif

En bon indépendant, j’organise mon quotidien à peu près comme il me plaît.

Chaque matin au réveil, plusieurs choix s’offrent à moi.

Je peux démarrer la journée en me mettant immédiatement au travail, et avancer sur mes projets.

Ou je peux atermoyer, rester dans mon lit, regarder la télé, jouer aux jeux vidéo, traîner sur les réseaux sociaux, etc., en me disant que le boulot peut bien attendre.

Je préfère la première option.

Pas parce que je préfère écrire, mais parce que j’ai conscience qu’il s’agit du prix à payer pour garder mon indépendance et faire ce que j’aime.

Est-ce que je renonce à toute forme de divertissement pour autant ?

Absolument pas.

Il ne s’agit pas d’abandonner tout ce qui procure du plaisir ; seulement de donner la priorité aux tâches importantes.

Renoncer au plaisir immédiat, c’est renoncer temporairement au plaisir.

Rien ne m’empêche de me vautrer sur le canapé en fin de journée — après avoir bien travaillé. Comme rien n’empêche un type de sauter un entraînement ou savourer un muffin après qu’il a perdu 10 kilos, pourvu que l’objectif soit atteint.

Renoncer au plaisir peut durer quelques minutes, heures, jours ou semaines., mais lorsque vous êtes arrivé à vos fins, libre à vous de relâcher (un peu) vos efforts.

Votre satisfaction n’en sera que meilleure !

Les nombreuses fois où vous aurez à faire le choix entre (1) quelque chose d’agréable mais improductif, ou (2) cheminer vers un désir ambitieux qui vous procurera une satisfaction permanente, pensez-y !

Votre capacité à résister (temporairement) à la tentation du plaisir immédiat est une qualité qui fait la différence entre la réussite et l’échec.

-Chris

Un simple principe pour réussir n’importe quoi

Chacun d’entre nous aspire à quelque chose.

Pour certains, c’est de mieux gagner sa vie, ou dans des conditions plus agréables.

Pour d’autres, c’est avoir une vie sentimentale plus épanouie, une meilleure santé ou spiritualité.

On pourrait étoffer la liste d’exemple, mais qu’importe l’objet de votre desideratum : lancez-vous pour l’atteindre !

N’ayez pas peur d’échouer ; faites le pari de réussir.

On regrette rarement d’avoir essayé, mais trop souvent de n’avoir rien tenté.

Le succès : ce jeu de probabilité…

J’ai lu une pléthore de livres sur la réussite. J’ai aussi fréquenté des personnes qui ont réussi là où beaucoup se sont abstenus d’essayer, et j’ai moi-même réalisé quelques prouesses en dehors des contingences.

Dans tout succès il existe un principe, le même que pour les jeux de probabilité.

La réussite pointe rarement son nez au premier coup.  Ni même au deuxième ou au troisième. Le chemin qui mène à la réussite est bordé d’échecs. Mais chaque échec nous rapproche de la réussite.

Notre boulot consiste à mettre les probabilités un maximum de notre côté, et d’essayer encore et encore.

Si vous partez au casino jouer à la roulette, vous savez que vous allez devoir ponter et perdre plusieurs fois avant de gagner une fois.

Gagner du premier coup est possible, mais très rare. Le plus souvent, il faut retenter sa chance 10 fois, 100 fois, pour gagner.

La différence notable avec le succès, c’est que ce dernier n’a besoin d’être atteint qu’une seule fois. Au jeu de hasard, si vous gagnez une fois sur cent, vous ne récupérerez peut-être même pas votre mise initiale. Mais si après avoir échoué 100 fois vous parvenez à réussir, vous avez gagné la partie.

Thomas Edison a échoué 1000 fois avant d’enfin inventer l’ampoule électrique.  Il n’en demeure pas moins qu’aux yeux de l’histoire il est resté un des plus grands génies.

Chaque raté est un pas vers la réussite

Nos échecs nous rapprochent toujours un peu plus de la réussite.

La plupart des gens ont peur d’agir parce qu’ils savent qu’ils risquent d’échouer la première fois.

  • Vous aimeriez aller parler à cette fille que vous venez de croiser, mais vous savez que vous allez être maladroit et ne saurez pas quoi lui dire.
  • Vous aimeriez devenir écrivain(e), mais vous n’osez pas dévoiler vos idées et votre prose au grand public parce que vous serez critiqué.
  • Etc.

Soit !, vous avez raison d’avoir peur. Il faut être réaliste, si vous passez à l’action vous allez (très certainement) échouer.

  • Les filles ne sont pas toutes assistantes sociales, elles n’ont pas de temps à perdre avec un type qui vient de nulle part et qui bégaye.
  • Votre première publication sera fade, pompeuse, parsemée d’erreurs ; je sais de quoi je parle.

Dans tout ce que vous allez faire la première fois, vous  échouerez…

Mais ce n’est pas le plus important.

L’essentiel, c’est de persister.

Chaque échec est une expérience ; une leçon pour mieux faire la prochaine fois.

La prochaine fois…

  • Vous saurez un peu mieux gérer votre nervosité et tenir la conversation.
  • Les critiques constructives vous diront ce qu’il a à améliorer et vous aurez moins peur de passer pour un scribouillard.

Ensuite, peu importe s’il faut rejouer 10, 100 ou 1000 fois, à chaque tentative vous apprendrez quelque chose de nouveau. Et vous finirez par obtenir le résultat que vous désirez.

Le succès est, en grande partie, une affaire de persistance.

~Chris Berman

3 choses que vous devez faire TOUS LES JOURS pour progresser à l’écrit

Peu importe d’où nous partons. Seul là où nous allons, la direction que nous empruntons en ce moment même, compte. Dans la vie, rien n’est jamais vraiment figé. Notre personnalité et état d’esprit, nos connaissances et compétences, etc., tout évolue continuellement.

Oui, tout est difficile avant de devenir facile ; et s’améliorer, quel que soit le domaine, demande de l’investissement et de la patience. Mais, c’est la bonne nouvelle, tout finit par réussir à ceux prêts à en payer le prix.

Si vous souhaitez progresser à l’écrit, il ne tient qu’à vous de TRAVAILLER jour après jour pour avancer dans cette voie. Cela commence — à mon humble avis — par intégrer dans son quotidien les 3 choses qui seront énumérées subséquemment.

J’ignore qui vous êtes, votre niveau et vos intentions. Cela dit, je peux vous garantir qu’en appliquant ces conseils vous allez faire beaucoup, beaucoup de progrès au fil des semaines et des mois à venir.

Assez de suspens : voici les 3 choses à faire tous les jours pour progresser à l’écrit.

#1 – Lire.

progresser à l'écrit
Lire chaque jour permet de progresser à l’écrit

Si progresser à l’écrit vous tient à cœur, vous devriez considérer la lecture comme un véritable exercice, non pas comme un simple loisir.

Il n’y a pas de secret, pour bien écrire vous devez faire partie des (rares) personnes qui lisent une pléthore de livres ou d’articles chaque mois.

Lire est une compétence. En pratiquant chaque jour, vous lisez mieux et plus facilement. Vous vous immergez vite dans votre lecture, allez plus vite, êtes plus rapide, plus sensible au style de l’auteur, retenez les informations.

Lorsque vous ne lisez qu’épisodiquement, en revanche, vous peinez davantage à avancer et tirer profit de vos lectures. Et, quand vous ne lisez presque jamais, vous êtes incapable de rester concentré sur plus de trois paragraphes !

Comme pour un athlète, c’est par un entraînement varié au quotidien que l’écrivain progresse dans sa discipline.

En outre, la lecture fait entrer les nouvelles connaissances, idées et réflexions dans son esprit — dont on peut se servir et qui nourrissent son inspiration.

L’inspiration est comme le tonneau des Danaïdes : il faut s’emplir sans cesse d’idées et d’informations pour qu’elle reste débordante. Sinon, c’est la sècheresse. La panne d’inspiration !

En remplissant notre matière grise chaque jour, notre inspiration reste bonne.

En somme, il faut lire quotidiennement ; plusieurs heures, si possible.

#2 – Écrire, écrire, et encore écrire. 

 

Le seul endroit où le succès précède le travail, c’est le dictionnaire.Vidal Sassoon

Qui devient bon dans une discipline sans jamais la pratiquer ? Personne. Pour progresser à l’écrit, il faut écrire. Point.

Bien sûr, ce n’est pas miraculeux. Je doute qu’on puisse exceller seulement en écrivant, même en y passant un nombre incommensurable d’heures. Sans lire, sans une culture littéraire et un vocabulaire assez riche, sans recueillir les conseils d’autres écrivains, on reste (trop) limité.

Cependant, personne n’apprend par magie. Écrire tous les jours n’est certes pas l’unique prérequis, mais c’est un pilier essentiel pour progresser à l’écrit.

Deux à trois heures par jour me semble être le strict minimum. J’y inclus l’édition : relire plusieurs fois ses textes pour les améliorer et les corriger. C’est en général le plus gros du travail d’écriture.

#3 – Élargir ses connaissances 

Il faut cultiver notre jardin.Voltaire

On n’en finit jamais d’apprendre !

Parfois, c’est une figure de style ou une règle de grammaire qu’on ignorait. D’autres fois, c’est un mot de vocabulaire ou un conseil utile.

Chercher à étendre ses connaissances pour devenir meilleur est important.

À titre personnel, dès que je découvre un nouveau mot, je le note immédiatement, avec sa définition, sur une fiche que je placarde sur mon mur. Ensuite je le relis une à deux fois par jour jusqu’à être capable de le réutiliser spontanément — à l’oral comme à l’écrit. Ainsi, chaque jour je révise une bonne trentaine de mots pour les retenir.

Je fais pareille avec la grammaire. Quand je prends connaissance d’une règle, je la recopie et l’affiche au mur pour la relire tous les jours.

Astuce : Depuis quelque temps j’utilise Antidote 9. C’est un correcteur d’orthographe à la fois performant — il repère la plupart de mes coquilles — et pédagogue. Quand une faute a été commise, il donne des détails sur la règle de grammaire qui n’a pas été respectée.

À force de passer mes textes au détecteur d’orthographe, je retiens une règle de temps à autre. Cela me permet d’apprendre de mes erreurs — dont je n’aurais pas eu conscience sans cet outil.

Saviez-vous par exemple qu’on utilise toujours l’indicatif après « le fait que… » (jamais le subjonctif) ? Donc, écrire « Le fait qu’il soit à l’heure » est grammaticalement inexact ! Cela fait partie des quelques règles peu connues que mon correcteur m’a enseignées.

Outre cela, il est important de consulter régulièrement des livres, articles ou vidéos touchant de près ou de loin à l’écriture.

Évidemment, vous devriez lire des ouvrages dédiés au sujet (notamment, « Écriture : Mémoire d’un métier » de Stephen King). Mais ne vous cantonnez pas à cela. On peut trouver des astuces sur la productivité, l’organisation, la concentration, la motivation, le SEO (pour mettre en avant ses textes sur les moteurs de recherche), etc., etc.

Qui sait : parfois un conseil découvert par hasard peut changer bien des choses !

Et par le cumul de bonnes recommandations — aussi basiques puissent-elles être — on peut incroyablement progresser ; améliorer à la fois sa prose, sa créativité, sa rapidité de rédaction, mais également le revenu qu’on perçoit par le biais de cette activité.

Dans vos lectures quotidiennes (voir #1), vous devriez inclure du contenu d’information de ce genre.

Conclusion : Comment progresser à l’écrit

Lire, écrire et acquérir des connaissances peuvent, si vous faites ces 3 choses jour après jour, vous permettre de progresser à l’écrit plus rapidement que n’importe quel atelier d’écriture.

Si vous lisez des biographies d’auteurs célèbres, vous remarquerez qu’être écrivain n’est pas un métier comme un autre. C’est plus : un style de vie à part entière ; un style de vie qui demande du dévouement.

À l’évidence, sauf si vous visez le Prix Nobel, vous n’aurez pas à écrire 8 heures par jours et passer le reste de votre temps à lire ou retenir les mots du dico. Mais si vous souhaitez produire du contenu qui mérite d’être lu, adopter un style de vie adéquat est une nécessité.

Même un amateur de marathon se doit d’avoir une hygiène de vie adaptée à son sport, n’est-ce pas ? Sinon il finirait sur les rotules après quelques kilomètres…

C’est idem pour celui qui aspire à écrire. Et, croyez-en mon expérience, il n’y a rien de plus frustrant que de vouloir coucher ses idées sur le papier, mais en être incapable. Lire, écrire et apprendre chaque jour sont les 3 choses qui vous rendent compétent pour le faire.

– Chris Berman

De l’importance de l’estime de soi ! (+ 2 astuces pour l’améliorer)

Si je vous dis « cette personne a une forte estime d’elle-même », à quoi pensez-vous ? Quelle image vous vient tout de suite en tête ?

Est-ce celle d’une personne vaniteuse, narcissique, arrogante, se croyant bien mieux qu’elle ne l’est ?…

Si oui : vous avez tout faux. Une personne qui s’estime est absolument l’inverse.

Une personne qui s’estime, estime les autres et n’a pas l’impression de se prévaloir contre quiconque. Elle est authentique parce qu’elle s’accepte telle qu’elle est, avec ses qualités et ses défauts, ses forces et ses faiblesses.

On a tort de considérer l’estime de soi comme un défaut. C’est une qualité. Et non des moindres : de celles qu’on devrait tous vouloir développer, avec autant d’obsession qu’un culturiste pour ses biceps.

Votre estime de vous-même détermine la qualité de votre vie. Elle délimite vos ambitions, vos performances et la qualité de vos relations. En manquer ne peut que vous desservir et en avoir trop est impossible. Plus vous en avez, mieux c’est.

Malheureusement, nous avons tendance à la négliger, et beaucoup de nos croyances et habitudes la dégradent. Peut-être pensez-vous qu’il faille avoir une basse estime de soi pour avoir une grandeur d’âme , ou que peu s’estimer rend plus estimable. Or, c’est le contraire qui est vrai.

La perception de soi-même

La perception de soi, autrement dit la manière de se percevoir – à travers son imagination, ses « yeux intérieurs, –  détermine maintes choses. Elle définit ce que nous pensons être capables de faire, les objectifs que nous nous fixons, à quel point nous persistons pour les atteindre. Elle définit nos actions et leurs résultats.

En psychologie, on appelle cela l’effet Pygmalion.

Chacun d’entre nous avons nos propres perceptions de nous-mêmes pour chaque domaine.  Par exemple, j’ai une perception de moi-même en tant qu’écrivain. Je me perçois (inconsciemment ou presque), d’une certaine manière, à travers mon « regard intérieur ». Cela m’amène à avoir des pensées et des ressenti spécifiques qui ont une influence sur mes performances lorsque j’écris.

J’ai aussi une perception de moi-même en tant qu’orateur : lorsque je parle à une personne, ou un groupe, ou lorsque je m’imagine le faire, j’ai des pensées et sensations particulières.

Et, bien entendu, j’ai une perception de moi-même en tant qu’individu en général. Et ces pensées et émotions ont une influence sur mes attitudes, mes attentes et mes performances.

L’effet pygmalion en action

j’ai lu dans un livre de Brian Tracy, Maximum Achievement, une petite histoire qui illustre tout à fait l’influence de la perception de soi sur nos attentes et nos performances.

Un jour, un jeune étudiant – très brillant – fut soumis à un test d’évaluation des compétences avant son entrée à l’Université.

Il découvrit le résultat un peu plus tard : 99.

Ce chiffre signifiait qu’il avait obtenu un score supérieur à 99% des autres élèves ayant passé le test. Un résultat excellent en somme.

Seulement, au lieu de l’interpréter comme il aurait dû, il crut qu’il s’agissait de points de quotient intellectuel. Et, comme il savait que le QI d’un individu moyen est supérieur à 100, il se mit à penser que son intelligence était limitée, trop sans doute pour réussir ses études supérieures.

Qu’arriva-t-il ensuite ? Je vous le donne en mille : il eut des notes catastrophiques au premier semestre, bien en deçà de ses capacités réelles. Si bien que le directeur de son établissement finit par le convoquer.

Lors de leur entretien, ce dernier l’interrogea sur les raisons de son échec. Le jeune homme, candidement, lui répondit que ce n’était pas sa faute… que son intelligence était juste trop limitée.

Le directeur, surpris par sa réponse, lui demanda les raisons qui l’amenaient à croire cela. Le jeune garçon répondit qu’il avait obtenu « seulement » 99 à son examen d’évaluation.

Le directeur comprit alors ce qui était arrivé. Et il lui expliqua que ces « 99 » n’avaient rien à voir avec son QI ; qu’il s’agissait d’un pourcentage présentant son classement parmi les autres élèves ayant passés l’examen ; qu’en fait, il avait obtenu un meilleur score que 99% d’entre eux.

D’un coup d’un seul, le garçon réalisa son erreur. Il n’était absolument pas limité par son intelligence, bien au contraire. Ce qu’il avait pensé, il l’avait pensé à tort.

La fin de l’histoire fut aussi surprenante que son début. L’élève, qui après cet discussion se perçu comme étant plus intelligent que la plupart des autres élèves, se mit à avoir d’excellentes notes ! Il réussit son année.

La morale de l’histoire

Belle histoire, n’est-ce pas ?

Mais, le plus beau dans ce récit, c’est qu’il s’agit d’une histoire vraie. Elle a fait la Une des journaux américains il y a plusieurs années.

Ceci nous révèle une leçon importante : qu’importe votre potentiel et vos compétences intrinsèques, vous aurez toujours des résultats à la hauteur de vos attentes.

Ces attentes, vous les définissez à partir de votre perception de vous-même.

Cela ne veut pas dire qu’il faille vous dire que vous êtes brillant, intelligent ou doué pour le devenir instantanément. Vous ne pouvez (probablement) pas obtenir des résultats au-delà de ce que vous permettent d’accomplir vos compétences. Je ne deviendrai pas un virtuose au piano en me convainquant que j’en suis un (si toutefois j’étais capable de m’en convaincre, car nos attentes, ainsi que notre perception de nous-même, sont grandement définis inconsciemment).

En revanche, mal vous percevoir vous empêche d’exploiter vos pleines capacités, et d’atteindre ce que vous auriez -potentiellement pu atteindre.

Comme nous devinons souvent mal l’ampleur de nos capacités, il est certain qu’en améliorant notre perception de nous-mêmes nous découvrirons AUSSI des qualités insoupçonnées.

Le lien entre perception de soi et estime de soi

Perception de soi, Estime de soi : les deux sont liées, bien qu’elles paraissent distinctes en apparence. Pour être tout à fait exact, la perception de soi est une des facettes de l’estime de soi. Une mauvaise estime confère une mauvaise perception, et vice versa. En améliorant son estime de soi, on améliore aussi sa (ou ses) perception(s) de soi.

Meilleure est l’estime, meilleur est le succès

Avec une bonne estime de soi, on se fixe des objectifs plus ambitieux, on se sent capable de les atteindre, et on pense les mériter.

Même si nos compétences et notre perception de nous ne sont pas (encore) idoines pour accomplir ce que nous entreprenons, nous nous sentons capable d’acquérir les prérequis nécessaires au succès. Et, au-delà de cela, nous nous sentons capable de réussir tout ce que nous pensons réalisable. En résumé : nous croyons en nous-même !

Votre estime détermine (aussi) la qualité de vos relations

Votre estime de vous-même n’impacte pas seulement votre réussite scolaire, professionnelle, sportive ou artistique. Elle influence votre réussite sociale.

Quand vous possédez une bonne estime de vous-même, vous êtes plus énergique, plus optimiste, plus à l’aise et bienveillant auprès des autres. Cela vous octroie du charme, du charisme social.

Plus important encore, votre estime détermine votre capacité à apprécier les autres. Ceux qui n’ont pas suffisamment d’amour PROPRE ne peuvent pas en donner aux autres ! On ne peut donner que ce que l’on a pas…

« Attendre le pire de l’autre, c’est aussi lui offrir le pire de nous-même »

Enfin, comme vous êtes plus positif et bienveillant :

  • Vous avez tendance à attendre le meilleur des autres, et non le pire.
  • Vous pouvez donner le meilleur de vous aux autres.

A l’instar de sa propre perception de soi, quand on perçoit négativement autrui, qu’on s’attend à ce qu’il soit désagréable, mauvais, malintentionné, on se méfie et on est moins agréable avec lui. On agit en adéquation avec nos attentes. En retour, on attire aussi la défiance des autres, et une attitude moins agréable.

COMMENT AUGMENTER SON ESTIME DE SOI ?

Bonne question : j’allais justement y venir !

L’estime de soi n’est pas une science exacte et je suis loin d’être le plus ferré sur le sujet. Je vais néanmoins tâcher d’apporter quelques éléments de réponse.

Il y a deux recommandations que vous pouvez suivre immédiatement et qui, à coup sûr, augmenteront votre estime de vous-même :

  1. Faites-vous du bien, sentez-vous bien !

Non, je ne cherche pas à encourager l’hédonisme. Je veux encourager à faire des choses – n’importe quoi – qui font se sentir bien dans sa peau.

Cela peut-être :

  • Acheter et porter de belles fringues qui mettent en valeur ;
  • Faire preuve de générosité;
  • Sortir de sa zone de confort pour faire ce que l’on n’a jamais osé faire auparavant ;
  • Faire de la visualisation positive ;
  • Prendre un bain chaud ;
  • Etc., etc.

Voilà le principe : à chaque fois que vous faites quelque chose qui vous fait du bien – qui fait vous sentir bien dans votre vie, bien dans votre peau – vous gagnez quelques points d’estime de vous !

A l’inverse, évitez les situations et les personnes susceptibles de vous faire vous sentir mal. Cela peut paraître évident, mais nous avons souvent du mal à changer certaines situations ou habitudes, et nous séparer des gens nocifs.

  1. Adoptez un dialogue intérieur positif.

Cessez d’être cruel envers vous-même, de déblatérer des critiques négatives à votre égard.

Les mots sont des programmes. Et ce que nous nous répétons encore et encore finit par devenir nos croyances.

  • Vous ne voulez pas croire que vous êtes nul…
  • Vous ne voulez pas croire que vous ne méritez pas d’obtenir ceci, d’avoir cela…
  • Vous ne voulez pas croire que vous ne pouvez pas…

…Vous voulez croire l’inverse ! Que vous êtes capable, que vous méritez, que vous pouvez.

Alors il faut surveiller son dialogue intérieur.

Si cela peut vous aider, lisez What to Say When You Talk to Yourself du Dr. Shad Helmsletter. Après, vous réfléchirez à deux fois avant de laisser de mauvaises pensées traverser votre esprit.

Si vous souhaitez que je réponde à une question ou traite un sujet spécifique dans un prochain article, vous pouvez me contacter en cliquant sur ce lien. Si vous avez apprécié cet article, je vous encourage à le partager avec vos amis, ou toute personne susceptible de l’apprécier. Je vous en serai reconnaissant. Enfin, vous pouvez me suivre en vous inscrivant à ma liste email ou mon compte Twitter.

-Chris Berman

Comment arrêter le café (et rester toujours en forme) ?

Jusqu’à 26 ans, je ne buvais pas de café. Il m’arrivait parfois, durant ma scolarité, d’en prendre un entre les cours, mais pas davantage.

J’ai commencé à en prendre assidument en me levant tôt pour écrire.

Aux alentours de 5 heures, mon alarme sonnait pour m’extirper du sommeil. Ensuite, je me servais deux tasses de café pour démarrer la journée. La première pour me réveiller, la seconde pour me mettre au travail.

Très vite, je m’y suis habitué. Dès la sortie du lit, je m’en préparais tout un réservoir de cafetière que je buvais au fil de la journée.

Ce nouveau rituel ne fut pas sans conséquence ; les quelques suivants j’avais du mal à m’en abstenir et j’en consommais de plus en plus. De deux tasses le matin, j’étais passé à quatre, puis à huit — au moins ! — tout au long de la journée. C’était trop ! Ça perturbait mon cycle de sommeil. J’avais des difficultés à m’endormir le soir.

Avec cela, d’autres effets secondaires sont apparus. Mon corps s’étant accoutumé, je ne parvenais plus à m’extirper de la fatigue en restant à jeun, sans ma dose ! Un jour, on me fit remarquer que mes dents avaient jauni…

Et ce n’est qu’un aperçu des désavantages du café.

Résolution : arrêter le café

J’étais décidé à arrêter le café depuis un moment. Mais vouloir est une chose, le faire en une autre !

Le piège, toujours le même, est de s’en priver abruptement sans aucune étape intermédiaire. C’est en réalité le meilleur moyen pour reprendre vite. L’expérience me l’a démontré maintes fois.

Dans un premier temps, j’ai mis un frein à ma consommation au lieu de la stopper. Deux par jours, maximums — contre au moins huit auparavant.

Ensuite (2 mois plus tard), j’ai arrêté. Euh… presque ! Pour être tout à fait honnête, il m’arrive d’en prendre à l’occasion — notamment quand je travaille à l’extérieur. Le café a l’avantage d’être la boisson la moins chère. Alors, quand je me rends à un Starbucks ou d’un estaminet pour profiter d’un coin de table et écrire, c’est (encore) ce que je commande le plus souvent.

Néanmoins, j’en prends très peu à présent. De l’ordre d’un ou deux expressos par semaine. Très loin de ce à quoi j’étais habitué.

Les micro-changements sont la clé

« Rien ne sert de courir »La Fontaine

Se passer de café pour quelques jours est relativement simple, ou tout du moins surmontable. Arrêter définitivement, en revanche, est difficile. La plupart des gens l’ignorent, c’est une erreur de leur part.

Au lieu d’un changement ex abrupto, vous devriez en envisager un progressif ; un qui, à long terme, vous permettra d’atteindre votre objectif final. Autrement dit, vous devriez opérer par microchangements et non pas faire le grand saut dans le vide !

C’est parce que j’ai d’abord diminué ma dose de café — d’environ 3/4 — que j’ai pu cesser d’en boire frénétiquement toute la journée.

Réduire avant d’arrêter est à la fois un test et un objectif raisonnable.

  • Un test, parce que si l’on est incapable de réduire sa consommation à long terme, on ne saura de toute évidence pas l’arrêter non plus. Qui ne peut faire le moins ne peut faire le plus ! Se fixer une limite (un ou deux par jour) permet d’évaluer l’ampleur de sa dépendance au café, et de constater si l’on en a vraiment besoin ou pas.
  • Un objectif raisonnable, parce que c’est assez facile à atteindre ; réduire est plus simple que d’arrêter.

Puis, une fois habitué à une consommation faible, on peut envisager l’étape supérieure.

Le sevrage a été plus accommodant pour moi en passant par cette phase.

Pas de café, plus de tentation !

Une astuce toute bête pour diminuer drastiquement sa consommation : rayer le mot « Café » de votre liste de courses. Définitivement.

N’achetez plus de café ! Si vous n’en avez pas à disposition, la tentation d’en boire se dissipera. Et si vous arrêtez d’en boire chez vous, vous réduisez votre ingestion au moins de moitié ; sinon bien davantage (plus de 80 % dans mon cas.)

Vous pourrez toujours craquer ailleurs — à la machine à café du boulot, au restaurant, etc. Mais, chez vous, vous n’en prendrez plus. Ça fera une grande différence.

Je sais, ça parait tellement évident ! Mais les solutions très simples sont souvent les meilleures et les plus négligées… justement parce qu’elles sont évidentes et simples.

Remplacer par autre chose

Surtout si vous le prenez à un moment précis de la journée — au réveil ou après le déjeuner — votre café pourrait (beaucoup) vous manquer !

C’est une excellente idée de le substituer par un grand verre d’eau, une tasse de thé ou un jus de fruits (fait maison)

Pour vous donner un exemple, comme breuvage matinal j’ai opté pour de l’eau chaude citronnée, mélangée avec une cuillère de miel (et parfois un peu de gingembre ou de cannelle). Puis l’après-midi je bois de l’eau plate et/ou des jus (fruits ou légumes).

Comment NE PAS ressentir la fatigue ?

On peut arrêter le café et se sentir en pleine forme quand même. L’un n’empêche pas l’autre. Je dirais même mieux : les deux font la paire !

Le piège dans la désaccoutumance au café ce sont les moments de fatigue au cours de la journée. Lorsqu’ils viennent (1) on peut céder facilement et, (2) on pense davantage en avoir besoin…

Bien entendu, c’est faux. Personne n’a réellement besoin de quelque stimulant que ce soit pour être en plein état d’éveil. Mais en général les habitués croient l’inverse en ce qui les concerne. Et, dès lors qu’ils ressentent une fatigue passagère, ils soliloquent « j’ai besoin de café » dans leur esprit.

Pour la majorité de la population, ce dernier point ne semble qu’un détail insipide. Mais quiconque connaît le pouvoir de l’autosuggestion sur l’inconscient sait que c’est précisément le genre de dialogue intérieur à éviter pour arrêter le café ! Les pensées et les mots agissent comme des programmes. Vous finissez par croire ce que vous pensez et vous dites la plupart du temps. Cela devient vos prophéties autoréalisatrices. Et, si vous pensez et dites à vous-même « j’ai besoin de café pour me sentir éveillé » souvent, ce sera dur — très dur — de vous en passer (on n’arrête pas ce dont on pense avoir besoin…), et votre impression de fatigue sera accrue.

Répéter l’inverse — « je me sens énergique et en pleine forme sans café » — peut être une bonne initiative. La méthode Coué fonctionne aussi dans l’autre sens ; autant s’en servir.

Cela dit, retenez que moins vous ressentez de fatigue au quotidien, moins le besoin de café est oppressant, et, par extension, moins vous en percevez l’utilité. Alors, réduire les facteurs sources de fatigue mentale est encore plus important.

Les 3 carences qui fatiguent

3 carences sont source de fatigue : le manque de repos, d’activité physique, et la déshydratation.

Les manques de repos et d’activité sont bien connus. Sans repos, vous risquez le « burn-out », ou pire… Heureusement, la cure est simple : bien dormir (les médecins recommandent 8 heures par nuit) ; prendre souvent quelques minutes, heures ou jours pour se reposer. On sait aussi que le manque d’activité physique peut rendre apathique. Là encore, la solution à cela est somme toute évidente : pratiquer un sport, faire quelques dizaines de minutes de marche tous les jours, etc.

La déshydratation est, en revanche, un cas à part. Une grande partie de la population ne boit pas assez et l’ignore. À cause de cela, des coups de mous leur viennent régulièrement.

C’était une chose que j’ignorais aussi. Je m’en suis rendu compte récemment.

Si vous êtes comme moi, vous ne pensez peut-être pas à vous réhydrater avant d’avoir soif. Seulement, si vous avez soif, ça signifie que vous êtes déjà déshydraté depuis longtemps… D’où la fatigue !

Pour éviter la déshydratation (et la fatigue qu’elle engendre) :

  1. Boire l’équivalent de deux grands verres d’eau chaque matin ; car nous nous déshydratons vite en dormant.
  1. Avoir en permanence une bouteille sur soi (un litre au minimum), et tâcher de la finir au cours de la journée.

Tous les jours, je pose une bouteille pleine — soit d’eau plate, soit de jus de fruits/légumes (ça compte aussi) — sur mon bureau. Mon objectif est de la vider durant mon temps de travail.

En vous hydratant mieux, vous devriez ressentir plus d’énergie, et, arrêter le café plus facilement.

Des questions ? Vous pouvez me contacter en cliquant sur ce lien. Si vous avez apprécié cet article, je vous encourage à le partager avec vos amis, ou toute personne susceptible de l’apprécier aussi. Je vous en serai très reconnaissant ! Enfin, vous pouvez me suivre en vous inscrivant à ma liste email (cliquez sur l’onglet « s’inscrire » ou remplissez le formulaire) ou mon compte Twitter.

-Chris Berman

L’autre n’a sur soi que le pouvoir que nous lui donnons

L’Homme est un loup pour l’Homme, pensait Thomas Hobbes.

Et, dans l’absolu, il avait raison.

Certaines personnes sont nocives, voire carrément dangereuses pour d’autres. C’est pourquoi nos ancêtres ont inventé la justice, la loi, la prison. C’est aussi la raison pour laquelle il est primordial de trier sur le volet son entourage.

Maintes fois, au cours de notre existence, nous avons été – et nous serons – rejetés, traités injustement, ignorés, rabaissés, calomniés, insultés. Bien des choses poussent les gens à être délétères (la jalousie, l’égoïsme et la vengeance en sont quelques exemples.) Il peut même arriver qu’ils se comportent mal par maladresse ou stupidité.

En outre, nous ressentons parfois des émotions négatives qui n’ont pas lieu d’être. Nous digérons difficilement des paroles ou des actes qui ne sont pas mauvais en soi, et qui n’ont pas vocation blesser.

Mais, quoi qu’il en soit, il faut apprendre à gérer sa sensibilité vis-à-vis d’autrui.

Quelques-uns y parviennent d’instinct ; d’autres non. Pour ces dernier, un sérieux travail sur eux-mêmes est nécessaire.

Apprendre à gérer sa sensibilité

L’être humain est grégaire. Il a besoin d’un contact régulier avec ses congénères pour se sentir bien et rester en bonne santé mentale.

En termes différents, nous sommes interdépendants les uns des autres.

De ce fait, il faut apprendre à communiquer correctement, entretenir ses relations et gérer sa sensibilité vis-à-vis d’autrui.

Si vous êtes à fleur de peau, irrité par la critique ou les refus, il sera difficile de vous sentir pleinement épanoui. Vous avez besoin des autres pour être heureux, mais s’ils « provoquent » chez vous un tas d’émotions négatives, vous vous trouvez dans une impasse !…

On ne peut contrôler son prochain ni les évènements qui ont lieu dans nos vies. Le sentiment de rejet et  la malveillance sont inévitables

Mais…

L’influence (néfaste) que l’autre a sur nous – plus spécialement sur nos émotions – peut être drastiquement réduire, à condition d’adopter un état d’esprit efficient.

Ce n’est pas « EUX » !

J’ai suivi une formation en relation d’aide et d’écoute (coaching) durant 3 ans. Ce fut une expérience enrichissante. À bien des égards, elle a changé mon regard sur la vie.

J’y ai retenu une pléthore de leçons, dont une — au moins — mériterait d’être connue de tous.

L’autre n’a sur soi que le pouvoir que nous lui donnons.

Je sais… de prime abord, cet aphorisme semble erroné. D’aucuns sont sceptiques en entendant cette phrase la première fois.

Pourtant, c’est vrai : nous créons nos propres ressentis, même lorsqu’on en impute la responsabilité à quelqu’un d’autre.

Il est d’usage de croire qu’on se sent mal – rejetés, en colère, frustrés ou malheureux -, à cause des autres. Mais nous sommes les premiers responsables.

Personne n’a la capacité, en soi, de faire naître nos émotions à notre place. Nous en sommes les seuls créateurs.

Bien sûr, nul mauvais comportement n’est à excuser pour autant. Et, de toute évidence, les autres ont une emprise sur nos ressentis. Cela dit, ils ne sont QUE l’élément déclencheur.

Eux ont juste le pouvoir d’influencer nos émotions. Mais nous, et nous seuls, avons le pouvoir de les créer.

En se détachant de l’influence de leurs mots et de leurs actions, ils auront peu d’effets sur nous – sinon aucun !

L’autre, en vérité, n’a que le pouvoir que nous lui accordons pour influencer nos émotions.

Nos attentes vis-à-vis d’autrui

Une bonne partie de nos émotions négatives sont dues à nos attentes vis-à-vis d’autrui.

  • Quand vous attendez des autres qu’ils valident tout ce que vous dites ou faites, vous êtes sensibles aux reproches et à la critique.
  • Quand vous attendez d’une personne qu’elle n’ait d’yeux que pour vous, qu’elle vous fasse toujours passer en priorité, votre amour-propre se froisse facilement.
  • Etc.

En somme, quand vos exigences envers un individu ou un groupe d’individus sont excessivement élevées, vous êtes en proie à des réactions disproportionnées qui dégradent votre bien-être.

Ceux qui exigent trop — et Dieu sait qu’il y en a ! — éprouvent davantage de mauvais ressentis.

Non pas qu’ils soient malchanceux,  mais parce que leur ego et leur perception (trop idéaliste) de la manière dont ils doivent être traité, ou du couple, ou autre, leur donnent des attentes démesurées.

Soyez moins exigeant

Dans votre intérêt, cessez d’en attendre trop.

Nous sommes humains. Cela signifie plusieurs choses :

  • Nous sommes imparfaits ;
  • Nous commettons des erreurs et des maladresses ;
  • Nous avons nos propres insécurités, peurs et craintes, mais aussi des préjugés, des vices et des faiblesses ;
  •  Nos propres intérêts passent souvent avant ceux des autres (ce qui ne veut pas dire que nous sommes égoïstes !) ;
  • Chacun de nous peut, ne serait-ce que par erreur ou ignorance, se montrer injuste ou cruel.

La liste pourrait s’allonger davantage…

Une multitude de facteurs peuvent nous inciter à prendre des décisions ou des attitudes désagréables envers autrui, ou vice-versa.

Il ne s’agit pas de tout excuser, bien entendu  ; encore moins d’accepter la stupidité, les mauvaises actions ou l’immoralité de quelqu’un sans broncher.

En revanche, puisque personne n’est parfait :

  • N’attendez pas une compréhension, une sympathie ou une attitude invariablement exemplaire de qui que ce soit ;
  • Ne soyez pas étonné si quelqu’un se comporte mal.

Plus généralement : Cessez d’en exiger autant.

  1. On n’ira pas toujours dans votre sens. Celui de vos désirs, de vos intérêts, de vos points de vue.
  2. On ne sera pas toujours agréables avec vous. Parfois, on aura des mots durs à votre égard (peut-être pour votre bien ?) ; d’autres fois, on sera de mauvaise humeur et facilement irritables. On peut aussi se tromper sur votre compte…
  3. On ne sera pas TOUS intègres, sympathique, intelligents. Certaines sont pernicieuses, malheureusement.

Faites la part des choses

Ce n’est pas non plus parce qu’une personne a fait ou dit quoi que ce soit de déplaisant que (1) c’est volontaire et que (2) ses propos ou actes sont intrinsèquement malveillants.

Sachez prendre du recul, adopter une perspective plus neutre. Cela permet de mieux comprendre, relativiser, cesser de considérer pour personnel ce qui ne l’est pas.

Quelquefois, ce sont les interprétations qui éveillent les ressentis négatifs, pas les paroles ni les actions.

Pardonner

Du reste, certains cas peuvent être beaucoup plus durs à gérer, et passer outre l’influence négative d’une personne — quand celle-ci vous a trahi, brimé, ou pire encore ! — est difficile.

Couper les ponts s’avère parfois indispensable, mais insuffisant.

Dans ce cas, la solution que je vous proposer risque de sembler inappropriée, voire surprenante, et probablement susciter une résistance de votre part. Je pense néanmoins qu’il s’agit de la meilleure chose à faire. Pardonner. Oui. Vous avez bien lu.

Mais attention ! Ne mésinterprétez pas mon conseil. Ne le sous-estimez pas non plus.

Pardonner n’est pas un acte de faiblesse. Ça démontre au contraire une grande force mentale. Beaucoup en sont incapables, et traînent leurs ressentiments toute leur vie comme des boulets.

En fait, ce n’est même pas un acte de gentillesse envers celui, celle ou ceux qui ne le méritent pas.

Vous pouvez (et devez) pardonner pour VOUS, uniquement pour vous. Parce que c’est ce qui vous permettra de tourner la page, de ne plus nourrir de ressentiments ni accorder d’importance, donc de pouvoir, aux personnes et aux évènements passés.

Pardonner, c’est faire en sorte que rien de ce qui soit arrivé n’affecte plus votre avenir.

Tant que vous ressentez de l’animosité, de la haine, de la rancœur ou toute sorte de mauvais ressentis (aussi légitimes soient-ils), il sera impossible de tourner entièrement la page. Ces ressentiments vous poursuivront. Ils vous emprisonneront dans votre passé, vous empêcheront d’orienter votre esprit vers une autre direction, une meilleure direction.

On pardonne avant tout pour soi-même. Pour retrouver une harmonie intérieure.

 

~ Chris Berman

5 bonnes raisons de créer son blog perso – pour les écrivains et aspirants écrivains

1.  C’est une excellente carte de visite.

Avoir un blog, sur lequel on peut exposer sa prose, ses connaissances, ses idées et ses réflexions, est une excellente carte de visite.

Pour un écrivain freelance, cela donne une image plus professionnelle.

Ses prospects apprécieront. Et son nom restera plus facilement ancré dans leurs esprits, pour le jour où, éventuellement, ils auront besoin d’un rédacteur.

Aujourd’hui, plus que jamais, ceux qui possèdent une plateforme dédiée (entièrement ou en partie) à leur activité apparaissent comme plus sérieux, plus professionnels, plus fiables, que leurs concurrents qui n’en ont pas.

En outre, on peut mettre une liste email où les clients potentiels pourront s’inscrire. C’est une autre possibilité efficace pour rester sous « leurs radars », et offrir une meilleure visibilité à ses compétences.

Ce n’est pas indispensable, mais c’est un GROS plus pour se démarquer, et justifier ses tarifs.

Pour un auteur, une plateforme est aussi une excellente carte de visite.

Il peut ainsi, à chaque occasion, donner son site internet à consulter.

De la même façon qu’un écrivain freelance, un auteur semblera plus compétent et professionnel avec un beau blog perso bien soigné.

2. Pour proposer ses services.

Votre plateforme peut aussi promouvoir différents services en lien avec son activité.

Avec le temps, des lecteurs viendront d’un peu partout, par les moteurs de recherches et les réseaux sociaux. Parmi eux, quelques-uns surement seront intéressés par (au moins) un service.

  • Pour déléguer l’écriture de leurs articles par exemple (du « gostrighiting » comme disent les Anglo-saxons), ou recruter un rédacteur web.
  • Pour apprendre l’écriture (d’articles ou de bouquins non-fictionnels), se lancer dans l’activité d’écrivain freelance, etc. – ils pourront être intéressés par des livres, des programmes ou des ateliers.

Hormis mes services de rédacteur, je ne propose rien pour le moment. Mais, lorsque mon trafic aura pris plus d’ampleur, et une partie suffisante de mon audience recherche ou apprécierait un service spécifique, alors j’étudierai la question.

3. Pour vendre ses bouquins.

La plupart des écrivains ne vendent pas plus de 500 exemplaires de chacun de leur bouquin, paraît-il.

C’est faible, et surtout insuffisant pour vivre de sa plume.

Cela dit, c’est assez logique si on y réfléchit. À moins d’être mis en avant par la grande distribution, dans les rayons de la Fnac, du Furet du Nord, de Carrefour et compagnie, sans blog tout le monde ignorera vos livres. Mis à part vos proches. Vous serez un auteur parfaitement anonyme !

Combien de personnes sont prêtes à acheter le livre d’un auteur anonyme ?

Pas plus de 500 ! Ça va de soi.

Et encore, c’est si vous avez un bon titre, et une bonne couverture !

Vous pouvez toujours espérer que votre entourage, et les quelques personnes qui vous liront, fassent votre publicité. Puis que, sait-on jamais, le bouche-à-oreille prenne.

Mais, la vente grâce au bouche-à-oreille est un effet boule de neige. Peu importe à quel point vous êtes doués, moins vous êtes lus, moins il y aura de gens pour parler de vous autour d’eux.

Cependant, avec votre propre plateforme vous pouvez attirer plusieurs centaines, voire milliers, de visiteurs chaque mois, et promouvoir votre (vos) livre(s) plus efficacement.

Si quelqu’un accroche au contenu de votre blog, à votre personnalité, et que vous proposez systématiquement un de vos livres dans vos articles, il finira très probablement par vous en commander au moins un. Ne serait-ce que par gratitude, pour ce que vous lui avez appris et apporté.

Si…

  1. Vous écrivez souvent ;
  2. Vous donnez du contenu de bonne qualité ;
  3.  Vous faites un effort pour rendre vos articles suffisamment « SEO-Friendy » et pour les partager sur les réseaux sociaux ;

…vous pourrez avoir, après quelques mois, une bonne centaine de lecteurs sur votre blog, sinon plus.

Une centaine de lecteurs, c’est quelques d’exemplaires supplémentaires vendus. C’est aussi quelques personnes en plus qui vous recommandent autour d’eux.

C’est déjà ça de gagner, et l’effet boule de neige peut prendre plus facilement.

Il y a un peu partout sur la toile, des blogueurs qui vendent un nombre impressionnant de PDF et de formations en ligne. Pourquoi n’arriveriez-vous pas à vendre vos bouquins d’une manière analogue à la leur ?

4.  Pour montrer son travail.

Les qualificatifs « rédacteur web », « écrivain freelance » ou « bloguer » ne parlent à personne, ou presque.

Les gens sont souvent circonspects quand on leur dit qu’on est écrivain freelance ou blogueur. Régulièrement, on est obligé de reformuler par « écrivain » seulement, et d’expliquer plus en détail en quoi notre métier consiste.

L’émergence d’internet a créé de nouveaux médias, et avec cela, de professions inédites qu’une bonne partie de la population ignore encore.

Youtubeur. Blogueur. Et, pour proposer un néologisme à notre belle langue française : e-écrivain (« e- » parce qu’il écrit exclusivement, ou presque, sur internet : il publie des articles de blog, de e-magazine, des ebooks.)

Bien que cela ne doive pas être le but premier de sa création, avoir un blog s’avère d’un grand soutien pour clarifier ce que l’on fait (je parle en connaissance de cause.)

Les gens comprennent mieux en le consultant. Et ça rassure la famille sur le caractère licite de notre profession. Ouf !

5. Pour partager.

Et le meilleur pour la fin. Bien sûr !

Au-delà même de toute contrepartie pécuniaire éventuelle, avoir une plateforme permet de partager.

La plupart des écrivains non fictionnels ont un désir irrésistible de partager leurs connaissances et leurs points de vue. Ils ont à cœur d’aider les autres, en leur donnant des conseils, et en les avertissant de certains dangers ou erreurs à éviter.

Moi-même, j’adore partager ce que je sais, ce que je pense, ce que je lis, et ce que j’expérimente. Pas seulement à travers mes écrits, mais aussi dans ma vie en général.

Sans doute le meilleur moyen pour le faire aujourd’hui, c’est de créer un blog perso.

Un blog, c’est une tribune. Et ce qu’il y a de bien avec, c’est qu’il ne s’agit jamais d’imposer sa vision du monde, ses croyances ou ses idées. On donne seulement ce que l’on pense, sait, expérimente, puis les gens disposent comme ils l’entendent des informations qu’on leur prodigue.

Ceux à qui cela plaît restent. Les autres s’en vont.

C’est, pour moi, une bonne façon de partager.

Des questions ? Des remarques ? Des suggestions ? Des sujets que vous aimeriez que je traite ? N’hésitez pas à me contacter pour m’en parler. Je vous invite aussi à me suivre sur Twitter et vous inscrire à ma liste email (vous trouverez le formulaire dans la colonne en haut à droit).

 -Chris Berman

Comment NE PAS utiliser Facebook ? Ou comment les réseaux sociaux peuvent gâcher votre bien-être

Après Google, Facebook est le site internet le plus visité au monde. C’est aussi l’un des plus chronophages. Depuis mon inscription, j’ai perdu un nombre considérable d’heures sur ce réseau social, le plus souvent pour des peccadilles (écrire des commentaires insipides, y répondre, poster des photos, etc.)

Tout ce temps à traîner sur Facebook ne m’a jamais été profitable, et n’a même finalement jamais été très divertissant – à titre personnel, je préfère un bon film ou une bonne série. Si, entre ma 23e et 27e année, j’avais passé autant de temps à lire d’excellents livres qu’à procrastiner dessus, je serais sans doute deux fois plus cultivé qu’aujourd’hui, et j’aurais deux fois plus d’informations intéressantes à partager dans mes articles. Mais enfin, vous savez ce qu’on dit des SI

Ne crachons pas dans la soupe, tout de même. Restons modérés. Facebook a aussi des avantages. Pour ma part, il m’a permis d’entrer en relation avec un certain nombre de blogueurs, écrivains, et personnes très intéressantes, que je n’aurais jamais rencontré sans lui.

Ce n’est pas tant le réseau social, finalement, qui est à mettre en cause. C’est aussi (surtout ?) notre manière de l’utiliser. Pour résumer, disons qu’il y a une bonne et une mauvaise manière d’utiliser Facebook. Une qui est très coûteuse en temps, et j’ajouterai même : en bien-être ; une autre qui peut nous permettre de partager, rester en contact, avoir une vie sociale et un réseau plus riche.

La mauvaise façon d’utiliser Facebook

Facebook, comme tous les autres réseaux sociaux, permet de se construire une sorte de célébrité en étalant sa vie privée en photo, et en la commentant.

C’est somme toute sympa de partager les photos de ses dernières vacances à Marrakech avec ses amis. Le problème c’est que sous les puits de Likes et de compliments qui en retournent, on peut facilement devenir dépendant d’une validation virtuelle, artificielle et éphémère, poussant à une « surenchère » progressive de son ostentation pour en obtenir à nouveau, comme un drogué qui augmente sa dose pour continuer à ressentir les effets de son crack.

La plupart des gens, et on peut le déplorer, utilisent Facebook pour construire et entretenir un petit fan-club qui regonfle leur ego souvent mis à l’épreuve dans la vie quotidienne. En recevant cette reconnaissance, ils se sentent appréciés, estimés, valorisés, au moins pour quelques heures.

Cela n’est peut-être pas une mauvaise chose en soi ; mais attention :

1. Cette validation n’est pas réelle !

Les deux tiers des gens qui « Likes » ne nous apprécient pas vraiment…

Parfois ils veulent juste avoir des likes et de la validation en retour, ou nous enjôler pour une raison X ou Y.

Quand je regarde de près les Likes et commentaires de mes vieilles photos de profils, je m’aperçois que :

  • Presque un tiers d’entre eux vient de personnes que je n’ai même plus dans mes contacts ! Pour quelle raison n’y sont-ils plus, d’ailleurs ? Je me le demande.
  • Un autre bon tiers vient de contacts à qui je n’ai pas adressé la parole depuis perpète !
  • Le dernier tiers représente mes amis proches, ma famille, quelques bons anciens camarades de classes, collègues ou autres, avec qui j’ai gardé un lien assez fort.

Mon cas n’est peut-être pas tout à fait représentatif de la généralité, mais, à mon humble avis, ça montre quand même à quel point tous ces Likes, compliments, et commentaires, ne représentent pas grand-chose.

2. Cette validation est néanmoins hyper addictive !

Elle est addictive, notamment chez les individus qui en reçoivent peu dans leur vie de tous les jours.

Après tout, nous sommes humains. Nous avons TOUS besoin d’amour et d’attention, qu’on en ait conscience ou non. Ceux qui ont des difficultés à en recevoir suffisamment dans leur quotidien ont tendance à en chercher dans le monde virtuel – sur Facebook en particulier (très propice pour cela), mais aussi sur d’autres réseaux sociaux et les sites de rencontres.

Malheureusement, c’est un cercle vicieux.

Plus on recherche la validation sur ces plateformes virtuelles, plus on investit un temps considérable à embellir son image dessus, à donner une perception onirique de son style de vie, au lieu d’améliorer sa VRAIE vie.

On finit par creuser un fossé entre celle qu’on expose sur le net, et celle qu’on expérimente journellement.

Ne cherchez pas la reconnaissance sur Facebook

Il y a un tas de moyens de ressentir qu’on est une personne avec beaucoup de valeurs et de qualités. Il n’y a même pas besoin d’aller chercher la preuve chez les autres. Il suffit de se mettre devant un miroir et de se glisser quelques compliments ! On se sent tout de suite mieux.

Du narcissisme dites-vous ? Oui, et alors ? C’est du narcissisme positif ! C’est bon pour le moral, et après tout, se suffire, être sa propre source de reconnaissance, est la meilleure voie : celle de l’indépendance.

Vous pouvez aussi passer plus de temps avec les gens qui vous apprécient déjà (sans avoir à faire d’effort) : les membres de votre famille, vos amis très proches.

Exceller dans un domaine, ou faire des activités qui suscitent le respect et l’admiration d’autrui peut être une autre façon d’en recevoir – bien que la reconnaissance ne soit pas l’objectif poursuivi.

En bref, on peut très bien entretenir une bonne estime de soi et avoir sa dose de reconnaissance sans Facebook !

Utiliser Facebook comme « outil » pour obtenir l’approbation des autres est une mauvaise idée, qui peut être assez néfaste en vérité.

La plupart des gens ne sont pas honnêtes sur Facebook, ils affichent le bon côté de leur vie et cachent le mauvais.

  • Ils montrent des photos d’eux en train de s’amuser en soirée, mais pas celles où ils vomissent et ont la gueule de bois (sauf s’ils pensent que ça les valorise…)
  • Ils montrent leurs photos de vacances, celles où ils sont au restaurant avec leur groupe d’amis, etc., mais pas celles de leurs journées difficiles au boulot, ni celles où ils s’ennuient chez eux, ni celles où ils crient sur leurs gosses.

Ce n’est pas leur vie qu’ils exposent, c’en est un certain aspect – pour plaire à leurs « amis ».

Un double effet négatif

Ils n’en sont pas forcément conscients, mais ils le font néanmoins.

Et ce manque d’authenticité a deux effets négatifs :

  • Quand ils regardent les profils des autres (qui « trichent » comme eux), ils ont l’impression que tout le monde a la belle vie autour d’eux, que tout le monde est heureux, sort, s’amuse, voyage.

On peut trouver une pléthore d’études qui concluent que l’utilisation des réseaux sociaux accentue les risques de dépression ; parce que, évidemment, quand l’on voit tout le monde  donner l’impression d’avoir une vie 100 fois meilleure à la sienne, ça renforce son malaise. Même si, en réalité, elle n’est pas meilleure.

  • Ils sont comme des vendeurs de foires qui vantent les mérites de leur produit en attirant l’attention des chalands sur ses qualités, tout en sachant qu’au fond celui-ci est (beaucoup) moins bien qu’ils le laissent entendre.

Cela donne une sensation désagréable, comme un manque d’authenticité, de congruence.

Comment ne pas avoir l’impression d’être un « fake » quand on passe autant de temps à mettre une vie imaginaire en exergue, alors qu’on sait qu’elle est beaucoup moins bien en réalité.

En braquant les projecteurs sur les bons côtés, on braque notre esprit sur les mauvais !

Et cela n’a absolument rien d’épanouissant.

Plus de temps sur Facebook = Moins pour améliorer sa VRAIE vie

Facebook est comme la télévision : son usage a un coût en temps. Du temps que vous auriez pu investir ailleurs : dans la lecture, ou avec vos vrais amis ou les gens qui vous apprécient vraiment, ou toute sorte d’activité profitable.

Une journée ne durant que 24 heures, moins les 8 heures de sommeil, moins les 2 à 3 heures (minimum) nécessaires aux divers besoins quotidiens et à son hygiène personnelle, moins les heures de travail, et – pour les parents – moins les heures à s’occuper de ses enfants. Votre temps est (très) limité. Traîner tel un zombie sur Facebook – comme le font beaucoup de gens aujourd’hui – n’est pas la gestion la plus intelligente qu’on puisse en faire.

Surtout que sa qualité de vie est régie, comme toute chose,  par le principe de l’entropie.

Qu’est-ce que c’est ?

Je le résumerais ainsi :

Tout est fait pour s’améliorer OU régresser ; rien ne reste jamais constant.

  • Un culturiste va perdre de la masse musculaire dès l’instant où il va cesser de s’entraîner.
  • Quelqu’un qui cache 100 euros sous son matelas va, après un an, perdre du pouvoir d’achat ; parce qu’avec l’inflation, la valeur réelle de la somme va diminuer.
  • Un blogueur pro, qui met de côté son blog, va peu à peu perdre de l’audience et du chiffre d’affaires.
  • Etc., etc.

C’est le même principe pour sa qualité de vie. Si vous ne faites jamais rien, au présent, pour l’améliorer dans le futur, votre bien-être a beaucoup de chance de se détériorer au fil du temps !

Et, en passant plusieurs heures par jour sur Facebook, vous en prenez directement le chemin. On récolte ce que l’on sème.

D’autant plus qu’au lieu de perdre du temps dessus oisivement, poursuivre et atteindre ses objectifs, sortir de sa zone de confort, accomplir des changements – même les plus petits – procure du bien-être immédiat : un sentiment de satisfaction et un gain d’estime de soi-même.

On prend souvent plaisir, au moment présent, à améliorer sa vie future.

En conclusion

Facebook (ou n’importe quel autre réseau social) n’est pas mauvais en soi. Mais il faut faire attention à la manière dont on l’utilise.

C’est comme avoir un couteau en main : cela peut servir. Avec, on peut couper sa viande, ou un objet. Mais cela peut aussi blesser gravement.

Assurez-vous de vous en servir pour les bonnes raisons, et jamais pour les mauvaises.

  • N’utilisez pas Facebook pour rechercher la reconnaissance des autres, pour vous draper de vos dernières vacances, de votre apparence physique, ou de quoi que ce soit.
  • Perdez le moins de temps possible à traîner dessus sans aucun but précis.

Au lieu de cela, utilisez Facebook (ou autre) pour :

  • Rester en contact avec votre famille et les amis qui comptent vraiment (et pour qui vous comptez) ;
  • Participer à des groupes de discussion intéressants, ou en créer ;
  • Promouvoir votre marque, votre blog, vos articles ;
  • Développer votre réseau professionnel ;
  • Partager des informations utiles.

Et, bien sûr, si vous avez apprécié cet article, vous pouvez vous abonner à mon compte Twitter (tout nouveau) pour être alerté de mes nouveaux articles. Ça, c’est un exemple d’usage intelligent d’un réseau social !

-Chris Berman

Travailler debout : Une idée à tomber par terre ?

L’été dernier, je suis tombé sur cette infographie et j’y ai découvert une donnée très intéressante : d’après des recherches de l’Université du Texas, les employés utilisant un bureau debout étaient 46 % plus productifs que ceux qui utilisaient des bureaux ordinaires.

Cela m’a surpris. Il faut dire que, depuis l’école, j’ai appris comme tout le monde à travailler assis. Pour moi, c’était la seule position possible. Toutes les autres (debout comme allongée) me semblaient saugrenues. Mais cette information avait attisé ma curiosité, et j’ai voulu vérifier si rester debout pouvait réellement augmenter ma productivité. Et pas qu’un peu : de 46 % quand même… c’est énorme !

Je me suis intéressé au sujet. Plusieurs lectures çà et là sur le Net m’ont appris en outre qu’elle était bénéfique pour la santé, ou qu’une pléthore d’écrivains travaillait debout. Victor Hugo, pour n’en citer qu’un, écrivait sur un pupitre.

Ma motivation renforcée par ces nouvelles connaissances acquises, j’étais déterminé à tester le concept, au moins pour voir. Je me suis bricolé un bureau debout en plaçant mon tabouret de piano sur mon secrétaire.

Et devinez quoi ? C’est vrai : je suis plus productif, j’arrive à écrire plus longtemps.

Rien de révolutionnaire, évidemment. Cela dit, quand je suis assis plusieurs heures d’affilée, je finis toujours par avoir la bougeotte, ressentir le besoin d’arrêter pour me dégourdir les jambes, et, j’ai du mal à rester bien concentré.

Être debout, bouger, se déplacer légèrement, se dégourdir en sautillant, etc., semble donner un peu plus d’énergie pendant qu’on travaille, et surtout : permet de prolonger ses séances d’écriture.

Cela marche aussi très bien pour la lecture. Quelle que soit l’activité, notre corps déteste rester trop longtemps statique, et il finit par nous le faire ressentir.

Alterner la position assise et debout

Bien sûr, il n’est pas question de discréditer la position assise. J’aime aussi m’asseoir pour travailler, et être sur un fauteuil quelques heures n’empêche pas d’être efficace !

Je n’irai pas non plus jusqu’à rester toute la journée debout. Après un certain moment, la fatigue doit se faire sentir dans les jambes, ce qui a sans doute pour effet de déconcentrer, là aussi. Ce serait dommage de faire le même genre d’erreur !

Mais alterner les positions me semble un bon compromis !

Par exemple, dans les 2 ou 3 premières heures de la matinée vous pouvez rester assis à votre bureau, puis, quand l’envie de vous dégourdir vous prend, vous mettre debout. Enfin, si vous en avez marre d’être dans cette posture – parce que vous commencez à la trouver inconfortable, – vous pouvez vous remettre sur votre fauteuil de bureau.

C’est ainsi que je fais, et ça me semble être une excellente formule.

Les bénéfices :

  • J’arrive à prolonger mes séances d’écriture ;
  • J’ai besoin de pauses moins longues ;
  • Je peux aussi lire plus longtemps, et presque sans faire de pause.

(Et, au risque de me répéter article après article, lire est tout aussi important qu’écrire ; un écrivain non-fictionnel ne fait finalement que ressortir les connaissances qu’il a acquises depuis des années pour les rendre plus accessibles à ses lecteurs. Il rend facile pour les autres ce qui a été difficile à comprendre et/ou à apprendre pour lui.)

Bref : je suis plus productif au quotidien.

En fin de journée, j’ai écrit et édité plus de mots, et j’ai lu davantage.

J’invite tout le monde à (1) au moins faire le test, ou (2) au mieux adopter cette habitude.

Un écrivain sérieux, quelle que soit l’appellation qu’on lui accorde (indépendant, romancier, freelance, blogueur, journaliste, etc.) doit écrire ou édité au minimum 2000 mots par jour, et lire au moins 2 heures, sinon 3 !

Un peu plus de temps productif n’est pas de refus.

-Chris Berman

Combien de temps faut-il pour écrire un article ? (ou toute autre chose.)

En voilà une bonne question ! Une qu’on est forcément amené à se poser, à un moment, dans une carrière d’écrivain freelance ou de blogueur.

Parce que, quand ça devient une profession, il faut savoir allier deux éléments qui s’opposent par essence.

  • La qualité – car personne n’appréciera vous lire si vous écrivez comme une patate.
  • La rapidité – puisque mettre une plombe à rédiger n’est pas rentable ; sauf en échange d’une grosse commission. Être écrivant indépendant, c’est certes cool ! Mais si c’est pour un revenu deux fois inférieur au SMIC horaire, ça le devient beaucoup moins.

La qualité prend du temps, et pour écrire quelque chose qui vaut la peine d’être lu vous devez en investir.

Mais, comme l’a dit feu Benjamin Franklin, le temps c’est de l’argent, et plus vous en passez à rédiger, moins écrire devient une activité rentable.

La tension entre « rémunération » et « satisfaction »

L’interrogation vient de la tension qu’il existe entre rémunération et satisfaction (du client et/ou du lecteur.)

Comme les écrivains freelances et les blogueurs professionnels ne touchent pas un revenu calculé sur une base horaire, il y a conflit d’intérêts.

Prenons le cas du Freelance ; le plus souvent, celui-ci est payé à la prestation.

Par conséquent, il touchera la même somme d’argent sur un projet, qu’il y passe 20 minutes ou une dizaine d’heures.

Ça signifie que plus il est véloce et plus son activité est lucrative.

Il ne peut cependant pas se permettre de dégurgiter un fatras confus à la va-vite, la qualité de son travail étant jugée.

Ce qui permet à sa petite affaire de fonctionner, c’est avant tout la satisfaction de sa clientèle.

Pas la prospection, ni les sites de sous-traitance, ni même le super blog pro bien soigné ! La satisfaction de sa clientèle !

Parce qu’un client satisfait est un client qui revient, et qui vous recommande à ses copains entrepreneurs.

Si vous scribouillez pour gagner du temps, vous allez devoir changer de job à court ou moyen terme. Personne ne voudra vous réembaucher ni vous recommander.

Et c’est à peu près le même principe pour le blogueur. Le manque de qualité de ses articles se traduira par un manque d’engagement des visiteurs, moins de partages, moins de bouche à oreille.

Il faut donc trouver le bon écueil entre vitesse et qualité.

Donc, combien de temps faut-il pour écrire un article ?

L’interrogation, Combien de temps faut-il pour écrire un article ? traduit généralement l’inquiétude de passer trop temps à écrire (et pour trop peu) d’un côté, et de ne pas s’impliquer assez pour produire de la qualité de l’autre.

En vérité, il n’y a aucune réponse à cette question. Ou du moins, aucune réponse précise, quantifiable en temps.

  • Combien de temps faut-il pour écrire un article ?

Je dirais : assez pour que ce soit satisfaisant, et le moins possible à la fois.  

  • Comment faire ?

Réponse ci-dessous.

Préparez la rapidité, travaillez la qualité !

La rapidité se prépare ; la qualité se travaille.

Quand vous écrivez, vous devez être avant tout concentré sur la qualité, et ne pas vouloir aller le plus vite possible. Ce n’est pas une course contre-la-montre.

Vous devez privilégier la valeur, quitte à y investir le temps nécessaire.

Là où, surtout, vous pouvez améliorer votre vitesse, c’est en organisant bien vos sessions.

On ne gagne pas (ou peu) de temps en voulant écrire vite. Au contraire, on risque de se mettre trop de pression et annihiler son inspiration.

Vous pouvez, bien sûr, apprendre à mieux dactylographier pour coucher plus rapidement vos idées sur le papier. Mais votre vitesse d’écriture dépend surtout de ce que vous faites avant d’avoir commencé à taper sur le clavier.

S’organiser pour devenir plus rapide

Voici une liste (non exhaustive) de conseils qui m’ont permis d’accélérer ma vitesse d’écriture, sans nuire à la qualité de mes articles.

  • (1) Écrire aux bonnes heures.

J’ai déjà évoqué cette idée dans plusieurs articles (voir : le syndrome de la page blanche n’existe pas).

À certains moments de la journée, vous êtes motivé et inspiré.

Vous avez de l’énergie. Vous parvenez à atteindre un niveau de concentration optimal. Vos pensées sont claires et viennent spontanément.

Durant cette période, vous êtes plus efficace.

C’est pourquoi beaucoup d’écrivains se lèvent très tôt, entre 4 et 6 heures du matin. C’est à ces moments-ci qu’ils écrivent le mieux.

D’autres, à l’inverse, attendent jusque tard dans la soirée. Sans doute plus connu d’entre eux, Honoré de Balzac, passait ses nuits entières à écrire.

La toute première résolution que vous devriez prendre est d’identifier vos temps forts ; puis, organiser vos sessions en conséquence.

  • (2) Cultiver son enthousiasme.

Entretenir son enthousiasme est impératif.

Pourquoi ? Parce que l’enthousiasme est une source : d’énergie ; de motivation ; de détermination. En bref, que de bonnes choses pour écrire vite et bien. Alors qu’en manquer provoque souvent l’indolence et la résignation.

Comment conserver son enthousiasme ?

  1. Avoir, a minima, des objectifs et une vision claire et motivante des conditions dans lesquelles on veut être dans l’avenir.

Et, mieux encore, avoir une « Mission » ; c’est-à-dire donner un sens et un but (plus qu’un simple objectif !) à travers l’écrite.

Cela peut-être : promouvoir et enseigner une doctrine philosophie ; lutter pour une cause ; avoir un impact positif sur la vie de milliers de personnes ; etc.

Avoir des objectifs, une vision claire de ce que l’on souhaite, et une mission, permettent de garder en tête les raisons pour lesquelles chaque jour on « saigne sur le papier » – comme le disait Hemingway.

2. Pensez positivement.

La négativité est l’une des pires tares de l’écrivain.

Il y a de bon et de mauvais jours.

Des jours où l’on y arrive facilement, et d’autres où l’on a du mal. C’est normal.

Mais, quand ça va moins bien, on peut se sentir frustré par son manque de productivité. Et la négativité qui en découle, dans ses émotions comme dans ses soliloques, nous démotive encore davantage.

Dans ce cas, il faut savoir se rappeler :

  1. Que rien n’est toujours agréable et facile, qu’il faut faire avec et écrire malgré tout ;
  2. De la chance que l’on a de vivre d’une activité qui nous plaît ; pourquoi on a choisi d’écrire, les avantages que cela confère (la liberté, l’enrichissement personnel, etc.), et ressentir de la gratitude pour cela.

Prendre quelques dizaines de minutes pour faire ces rappels regonfle son enthousiasme à bloc.  Cela redonne l’impulsion suffisante pour finir les tâches les plus pénibles.

  • (3) Se ménager.

Ménagez-vous : faites de bonnes pauses, accordez-vous une journée ou un week-end de repos de temps en temps.

Cela conservera votre plaisir, et par extension, votre enthousiasme.

Cet élément, l’enthousiasme, n’a peut-être l’air de rien ; mais, croyez-moi, il fait une sacrée différence !

  • (4) Organiser ses sessions juste avant.

Que vos sessions d’écriture durent 20 minutes ou une heure entière, vous devez savoir l’organiser – de sorte à être bien concentré sur ce que vous notez.

Il est impossible d’atteindre le niveau de concentration nécessaire pour écrire quand on s’interrompt, ou qu’on est interrompu, fréquemment.

  • Si vous travaillez chez vous et cohabitez avec une ou plusieurs personnes, faites-leur comprendre que votre session est sacrée. Dites-leur qu’ils doivent rester silencieux et ne pas vous déranger. En dehors de vos sessions, vous pouvez leur donner toute votre attention ; mais pendant, vous devez vous focaliser sur une seule et même chose : écrire.
  • Toujours, avant de commencer, retirez toute source de distraction possible. Coupez internet et la sonnerie de votre téléphone, nettoyez votre bureau, éteignez votre télévision, débranchez votre frigo (si son ronflement vous dérange), etc., etc.
  • De même, occupez-vous de tout ce que vous avez à faire AVANT : aller aux toilettes ; se servir un café ; grignoter ; boire ; mettre ses notes à portée de main. Ainsi, vous ne serez pas tenté de vous interrompre en pleine séance d’écriture.
  • (4) Faites-vous à l’idée que le premier jet est une ébauche, rien de plus !

Parmi tous les conseils que j’ai pu trouver çà et là dans mes lectures, deux m’ont particulièrement aidé.

Un premier de Lisa Scottoline qui disait :

« Autorisez-vous un mauvais premier jet. »

Et un second, de Wiliam Zinsler :

« Le secret d’une bonne écriture, c’est la réécriture ».

J’écris mes premiers jets assez vite. Pour vous donner une idée, il me faut entre 30 minutes à une heure pour rédiger un article comme celui-ci (d’environ 2000 mots), à condition bien sûr de maîtriser suffisamment mon sujet.

Mais, paradoxalement, je ne suis pas rapide – ou, tout du moins, je ne me trouve pas rapide.

La seule raison pour laquelle je trousse la mouture originelle de mes articles si vite, c’est parce que je me soucie peu de sa qualité (surtout rédactionnelle). Pas encore. J’écris sans revenir en arrière, sans chercher à faire une ébauche parfaite.

Si, comme beaucoup d’amateurs, je me mettais à relire chaque ligne et à la modifier plusieurs fois, je n’en finirais pas ! En plus, ça n’aurait pas grand intérêt… Peu importe les efforts qu’on fournit à la première version, on retire, rectifie, et ajoute TOUJOURS des phrases à chaque réécriture.

Chaque chose en son temps !

On se rend réellement compte des défauts de son texte lorsqu’on le relit à froid. Jamais pendant sa rédaction initiale.

Si je passe 20 minutes à bricoler un paragraphe pour qu’il soit parfait, puis, qu’après relecture, je m’aperçois qu’il n’apporte rien à mon article et qu’il vaut mieux le supprimer : ces 20 minutes auront été perdues ! Et, si je fais la même erreur avec 6 autres paragraphes, c’est un temps considérable que je gâche…

Autant faire des phrases et des paragraphes qui transmettent à peu près correctement ses conseils, idées, arguments, illustrations, puis, vérifier s’ils méritent d’être mieux travaillés, plutôt que de vouloir que sa première version soit parfaite.

Vouloir une première version parfaite est une perte de temps !

Lors de la relecture, vous pourrez être plus perfectionniste. Parce qu’à cette étape, vous aurez déjà produit une bonne partie du contenu. Il ne restera plus qu’à mettre cette partie sous une forme plus claire, concise et harmonieuse, et faire quelques rajouts si nécessaires.

C’est beaucoup plus rapide de se concentrer sur une de ces deux étapes à la fois : (a) rédiger le contenu d’abord (b) le parfaire.

En général, après 2 ou 3 relectures, les ajouts et modifications essentielles auront été apportés ; l’article sera prêt à être publié, et, hormis quelques phrases qui pourront être mieux écrites et quelques coquilles (que vous pourrez faire corriger par quelqu’un d’autre), une relecture supplémentaire sera vaine.

(Nb : pour information, j’ai relu cet article 3 fois en tout.)

La loi de Parkinson

Enfin, il existe un principe que, selon moi, tout écrivain doit connaître.

C’est la loi de parkinson.

J’ai découvert cette loi dans un livre de Brian Tracy sur la gestion du temps.

Elle stipule que plus vous vous accordez de temps pour exécuter une tâche, plus vous en prenez pour l’accomplir.

En d‘autres termes, si vous envisagez de rédiger un article en 2 heures, vous aurez beaucoup de chances de le terminer durant ces 2 heures imparties – à condition qu’il s’agisse d’un délai raisonnable. Tandis que, si vous prévoyez tout votre après-midi pour l’écrire, vous y passerez probablement tout votre après-midi.

C’est une loi qui semble plutôt étrange de prime abord. Mais, très souvent, elle se vérifie :

  • Quand vous vous fixez une certaine durée pour accomplir une tâche (exemple : une heure), en général vous parvenez à la finir dans ce délai, ou, parfois, un peu après l’avoir dépassé.
  • Mais, quand vous vous accordez beaucoup de temps pour réaliser cette tâche (exemple : la journée entière !), vous ne vous pressez pas, et vous y passez tout ce temps donné.

Rappelons-nous nos devoirs à l’école : la plupart d’entre nous, quand nous avions une dissertation à rendre et toute une semaine la faire, nous nous débrouillions toujours pour la finir au dernier moment.

Il est plus facile d’être productif avec une contrainte de temps, que sans ! Ne s’imposer aucune limite de temps incite à atermoyer, à prolonger l’exécution de la tâche.

Si vous vous donnez un délai pour écrire un article, vous serez plus à même de prendre votre session au sérieux, bien vous concentrer, rester assez longtemps.

Comme je l’ai dit plus haut, il ne s’agit pas de se mettre la pression ou de considérer l’écriture comme une course contre-la-montre !

En revanche, garder en tête l’idée qu’on a tout son temps nuit à la fois à notre rapidité et qualité. Parce qu’écrire réclame de la rigueur, beaucoup de rigueur.

Donnez-vous, donc, un délai à chaque fois que vous écrivez ou éditez votre travail.

Et, bien entendu :

  • Un délai réaliste, que vous pouvez atteindre sans avoir à être hyper performant (l’objectif n’est pas de se mettre la pression.)
  • Ne vous mettez pas la pression pour le respecter coûte que coûte. Si vous vous rendez compte que vous ne pourrez pas honorer ce délai, prolongez-le.

-Chris Berman

7 raisons de lire des livres en version Kindle

Aujourd’hui, je passe plus de temps à lire des livres en version Kindle – sur ma liseuse ou ma tablette, – que de « vrais » bouquins. Il m’a fallu une petite période d’adaptation ; mais maintenant, j’apprécie l’un autant que l’autre.

Je parle régulièrement de ma conversion au numérique (cela fait un peu plus d’un an que je suis infidèle au livre papier traditionnel), et je ne taris pas d’éloges sur ma liseuse à mon entourage.

Pourtant, beaucoup de ceux avec qui j’en discute rejettent ce format profane.

Ils objectent, officiellement, pour des raisons de goût :

  • « Moi, je préfère les de vrais bouquins. Je n’aime pas lire sur numérique. »
  • « Ça ne me dit rien de lire sur liseuse ou tablette. »
  • « Je n’arrive pas à m’y faire. »
  • Etc.

…Mais quand on leur demande s’ils ont essayé, la plupart disent que non. Ça me donne l’impression qu’ils y sont hostiles seulement parce que c’est nouveau pour eux, et qu’ils n’y sont pas habitués (l’être humain n’a jamais trop aimé le changement…)

Okay ! le livre papier a aussi des atouts, et c’est avec lui que nous avons tous appris à lire. Mais il ne s’agit pas de substituer l’un par l’autre. On peut utiliser les deux !

Sans épiloguer davantage, j’aimerais vous donner 7 raisons convaincantes d’adopter le livre en version kindle, en plus de celui classique.

livres en version kindle
7 raisons de lire des livres en version kindle

Facile à transporter

Rendez-vous compte : vous pouvez voyager avec vous toute une bibliothèque, dans votre poche ou votre sac à main.

Pour une personne comme moi, qui lis un nouveau livre tous les 3 à 10 jours, même en déplacement (surtout en déplacement !), et qui a parfois besoin d’avoir ses sources d’informations avec lui pour écrire, c’est SUPERLATIVEMENT utile !

Je peux être n’importe où durant plusieurs semaines sans avoir à trimballer une pléthore de livres dans ma valise. Une liseuse, plus petite qu’un livre de poche, suffit.

C’est une première raison à méditer.

Obscurité-compatible (sur tablette)

J’aime bien lire le soir, pas vous ?

Mais la version papier nous oblige à laisser la lumière allumée, et il y a deux inconvénients à cela :

  1. Il faut donc être seul dans la chambre, pour lire sans déranger personne ;
  2. L’intensité de la luminosité retarde le sommeil (l’hormone de la mélatonine se sécrétant avec l’obscurité).

Mais, avec une tablette, c’est devenu facile et agréable de faire un peu de lecture le soir, dans son lit.

On télécharge l’application Kindle, on éteint la lumière et on se glisse sous la couette, bien au chaud.

Et, bien entendu, on peut régler la luminosité. On peut même télécharger l’application f.lux qui la régule automatiquement.

Autre avantage : on peut lire dehors, le soir à la belle étoile, ou dans une voiture au cours un voyage vespéral.

Rien que pour ça, ça vaut le coup !

La prise de notes

Sur Kindle, il existe une option qui permet de surligner les passages d’un texte et de prendre des notes.

Si vous aimez une formulation d’une phrase, qu’un passage vous inspire, ou que vous souhaitez mettre en exergue des informations intéressantes ou importantes, il vous suffit d’appuyer sur la liseuse avec votre index et de le faire glisser le long de l’extrait choisi pour le surligner.

Vous pouvez aussi ajouter des annotations, des commentaires, des remarques et des réflexions.

En somme, je trouve plus commode d’étudier le contenu d’un livre dans sa version kindle – qu’il s’agisse d’un guide, d’un essai ou d’une œuvre de fiction.

Enrichir son vocabulaire

Par extension, c’est aussi plus pratique pour enrichir son vocabulaire.

D’abord parce qu’on peut surligner les mots inconnus, les relire plus tard, et les noter ailleurs.

Mais surtout parce que la liseuse possède un dictionnaire intégré.

Si vous découvrez un mot dont vous ignorez la définition, il vous suffit d’appuyer dessus, et la définition s’affichera.

C’est quelque chose de véritablement génial.

  • Fini le temps perdu à aller chercher un mot dans le dico…
  • Fini l’époque où l’on renonçait à connaître le sens du mot (ou d’une phrase toute entière), parce qu’on n’avait pas de dico à porté de main…

Vous pouvez trouver la définition en une seconde. Cela permet d’enrichir spontanément son vocabulaire.

Économique

Télécharger le format Kindle d’un bouquin peut aussi s’avérer économique.

En général, la version numérique pour les nouveautés est moins chère, voire beaucoup moins chère, que celle physique.

Par exemple, j’ai pris le premier livre au hasard sur Amazon (et c’est tombé sur le dernier Harry Potter, comme par magie !)

Livres en version kindle

Vous pouvez voir la version papier a 21 €, contre 14,99 € pour celle numérique. C’est 6 euros de différence.

Bon, pas de quoi fouetter un chat et ça reste relativement cher pour un Kindle (mais c’est un Harry Potter – attention !)

Si vous voulez absolument lire une nouveauté avant qu’on ne puisse la trouver  d’occasion pour une poignée d’euros (les livres d’occasion se vendent pour une bouchée de pain), vous pouvez l’acheter sur Kindle dans un premier temps, puis, si vous tenez vraiment à ce que le livre emplisse votre bibliothèque, vous pouvez toujours d’attendre quelques années, quand il se vendra à quelques euros seulement.

En outre, s’il s’avère qu’il ne vous plaît pas, ça fera un livre en moins qui végète sur une étagère.

Mais il y a encore plus intéressant avec les livres en version kindle…

livres en version kindle

Les œuvres littéraires dont l’auteur est mort il y a plus de 70 ans sont du domaine public.

Dixit l’article L. 123-1 du Code de la propriété intellectuelle : « L’auteur jouit, sa vie durant, du droit exclusif d’exploiter son œuvre sous quelque forme que ce soit et d’en tirer un profit pécuniaire. Au décès de l’auteur, ce droit persiste au bénéfice de ses ayants droit pendant l’année civile en cours et les soixante-dix années qui suivent. »

De ce fait, vous pouvez accéder gratuitement à la version kindle des grands classiques de la littérature française et étrangère. C’est ainsi que j’ai pu en lire une bonne dizaine.

Ça ne vous empêche pas, évidemment, de les acheter en librairie ou en brocante si vous en avez envie. Mais grâce au Kindle, ça devient optionnel, et c’est toujours ça de gagner contre la déforestation.

Les petits livres en version Kindle auto-édités

Surtout si vous lisez anglais (le marché anglosaxon de l’autoédition est très développé), vous pouvez trouver bon nombre de petits livres pratiques, en général autour de 0,99€ et 2,99€, sur Amazon.

Le plus souvent, ces livres servent à promouvoir les services haut de gamme de leurs auteurs (coaching, séminaires, consultations, etc.)

Ils sont mieux travaillés, mieux écrits, mieux référencés, plus fiables et plus complets que les informations que l’on trouve gratuitement sur le net – wikipédia et compagnie, – tout en restant à des prix très abordables.

Il m’arrive d’en lire, parfois, par plaisir ou pour approfondir mes connaissances sur un sujet spécifique.

On peut les emprunter en illimité avec l’abonnement Kindle Unlimited.

Parce qu’il ne faut pas se laisser dépasser par la technologie !

Faut arrêt de faire le vieux casse-pieds, hein ! On doit vivre avec son temps et accueillir la technologie, plutôt que de la balayer d’un revers de la main en disant que c’était mieux avant.

Le numérique est en plein essor ; il est plus que probable que dans les 10, 20 ou 30 prochaines années, il ait remplacé, totalement ou en partie, le papier – qui sera suranné.

Ce n’est pas nouveau dans l’histoire qu’un support en remplace un autre. Autrefois, on a abandonné la roche pour le papyrus, le papyrus pour le parchemin, et le parchemin pour le papier. Aujourd’hui, on abandonne le papier pour le numérique. Ainsi va l’évolution !

Si vous laissez de côté les nouvelles technologies au lieu que vous y adapter, un beau matin vous risquez d’être complétement dépassé, comme ceux qui sont passés au Smartphone 5 ans trop tard…

Le progrès se fera, avec ou sans vous.